domingo, 2 de outubro de 2011

Le serment anti-moderniste : Sacrorum antistitum ! Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc. « Les modernistes sont les pires ennemis de l’Église, et le modernisme l’égout collecteur de toutes les hérésies. » (S. Pie X, Motu proprio Praestantia, 1907). Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc. Sacrorum antistitum reprenait les points principaux de l’encyclique Pascendi en s’opposant notamment à l’immanentisme et aux idées religieuses de Spinoza. Il fut durement critiqué par les libéraux jusqu’à sa suppression par Paul VI à l’époque du concile Vatican II. La crise moderniste commence en fait au milieu du XIXe siècle, alors que le Syllabus et l’essai de Darwin ont reconfiguré l’ensemble de l’intelligentsia européenne. Elle se prolonge jusqu’au milieu du XXe siècle et affecte durablement cinq pays d’Europe occidentale : l’Allemagne, l’Angleterre, la Belgique, la France et l’Italie tandis que le Canada francophone connaît à cet égard un sort spécifique. N’oublions pas que la lutte contre le modernisme a été le grand combat du XXe siècle. Dans Le Paysan de la Garonne, Jacques Maritain, peu suspect d’intégrisme, écrivit pourtant que le modernisme du temps de saint Pie X fut un simple rhume des foins au regard des dévastations de l’après-Concile… Corollaire politique de cette condamnation pontificale, la Lettre sur le Sillon soulignait que la véritable civilisation ne peut exister sans la vraie religion. Son actualité est frappante alors que la France entre de plus en plus dans la barbarie. Voici le texte du serment anti-moderniste contenu dans le Motu proprio Sacrorum antistitum, promulgué le 1er septembre 1910 par le pape Saint Pie X, que devait prononcer tout clerc lors de son ordination ou encore avant d’accéder à une chaire d’enseignement ou à un office ecclésiastique, et qu’il serait indispensable de rétablir aujourd’hui.


Le serment anti-moderniste : Sacrorum antistitum ! Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc.

 

   « Les modernistes sont  les pires ennemis de l’Église,
et le modernisme  l’égout collecteur de toutes les hérésies. »
(S. Pie X, Motu proprio Praestantia, 1907).

   Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc. 
   Sacrorum antistitum reprenait les points principaux de l’encyclique Pascendi en s’opposant notamment à l’immanentisme et aux idées religieuses de Spinoza. Il fut durement critiqué par les libéraux jusqu’à sa suppression par Paul VI à l’époque du concile Vatican II. La crise moderniste commence en fait au milieu du XIXe siècle, alors que le Syllabus et l’essai de Darwin ont reconfiguré l’ensemble de l’intelligentsia européenne. Elle se prolonge jusqu’au milieu du XXe siècle et affecte durablement cinq pays d’Europe occidentale : l’Allemagne, l’Angleterre, la Belgique, la France et l’Italie tandis que le Canada francophone connaît à cet égard un sort spécifique.
  N’oublions pas que la lutte contre le modernisme a été le grand combat du XXe siècle. Dans Le Paysan de la Garonne, Jacques Maritain, peu suspect d’intégrisme, écrivit pourtant que le modernisme du temps de saint Pie X fut un simple rhume des foins au regard des dévastations de l’après-Concile… Corollaire politique de cette condamnation pontificale, la Lettre sur le Sillon soulignait que la véritable civilisation ne peut exister sans la vraie religion. Son actualité est frappante alors que la France entre de plus en plus dans la barbarie.
Voici le texte du serment anti-moderniste contenu dans le Motu proprio Sacrorum antistitum, promulgué le 1er septembre 1910 par le pape Saint Pie X, que devait prononcer tout clerc lors de son ordination ou encore avant d’accéder à une chaire d’enseignement ou à un office ecclésiastique, et qu’il serait indispensable de rétablir aujourd’hui.

 

   « Les modernistes sont  les pires ennemis de l’Église,
et le modernisme  l’égout collecteur de toutes les hérésies. »
(S. Pie X, Motu proprio Praestantia, 1907).

   Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc. 
   Sacrorum antistitum reprenait les points principaux de l’encyclique Pascendi en s’opposant notamment à l’immanentisme et aux idées religieuses de Spinoza. Il fut durement critiqué par les libéraux jusqu’à sa suppression par Paul VI à l’époque du concile Vatican II. La crise moderniste commence en fait au milieu du XIXe siècle, alors que le Syllabus et l’essai de Darwin ont reconfiguré l’ensemble de l’intelligentsia européenne. Elle se prolonge jusqu’au milieu du XXe siècle et affecte durablement cinq pays d’Europe occidentale : l’Allemagne, l’Angleterre, la Belgique, la France et l’Italie tandis que le Canada francophone connaît à cet égard un sort spécifique.
  N’oublions pas que la lutte contre le modernisme a été le grand combat du XXe siècle. Dans Le Paysan de la Garonne, Jacques Maritain, peu suspect d’intégrisme, écrivit pourtant que le modernisme du temps de saint Pie X fut un simple rhume des foins au regard des dévastations de l’après-Concile… Corollaire politique de cette condamnation pontificale, la Lettre sur le Sillon soulignait que la véritable civilisation ne peut exister sans la vraie religion. Son actualité est frappante alors que la France entre de plus en plus dans la barbarie.
Voici le texte du serment anti-moderniste contenu dans le Motu proprio Sacrorum antistitum, promulgué le 1er septembre 1910 par le pape Saint Pie X, que devait prononcer tout clerc lors de son ordination ou encore avant d’accéder à une chaire d’enseignement ou à un office ecclésiastique, et qu’il serait indispensable de rétablir aujourd’hui.
 
Lire pour un développement plus complet du sujet :

LE SERMENT ANTIMODERNISTE DE SAINT PIE X

par Zacharias
OU LE VENIN SPÉCULATIF DE L’HÉRÉSIE MODERNE
FACE A LA DOCTRINE SACRÉE DE L’ÉGLISE