sexta-feira, 16 de novembro de 2012

Santo Afonso Maria de Ligório GRANDEZA DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA

GRANDEZA DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA
Santo Afonso Maria de Ligório
1) Na Santa Missa é Jesus Cristo a vítima
O Concílio de Trento (Sess. 22) diz da Santa Missa: “Devemos reconhecer que nenhum outro ato pode ser praticado pelos fiéis que seja tão santo como a celebração deste tremendo mistério”. O próprio Deus todo­-poderoso não pode fazer que exista uma ação mais sublime e santa do que o sacrifício da Missa. Este sacrifício de nossos altares ultrapassa imensamente todos os sacrifícios do Antigo Testamento, pois que já não são bois e cordeiros que são sacrificados, mas é o próprio Filho de Deus que se oferece em sacrifício. “O judeu tinha o animal para o sacrifício, o cristão tem Cristo”, escreve o venerável Pedro de Clugny; “seu sacrifício é, pois, tanto mais precioso quanto mais acima de todos os sacrifícios dos judeus está em Jesus Cristo”. E acrescenta que, para os servos (isto é, para os judeus, no Antigo Testamento), não convinham outros animais senão aqueles que eram destinados ao serviço do homem; para os amigos e filhos foi Jesus Cristo reservado “como cordeiro que nos livra do pecado e da morte eterna” (Ep. Cont. Petrobr.). Tem, portanto, razão S. Lourenço Justiniano ao dizer que não há sacrifício maior, mais portentoso e mais agradável a Deus do que o santo sacrifício da Missa (Sermo de Euch.).
S. João Crisóstomo diz que durante a Santa Missa o altar está circundado de anjos que aí se reúnem para adorar a Jesus Cristo, que, nesse sacrifício sublime, é oferecido ao Pai celeste (De sac., 1.6). Que cristão poderá duvidar, escreve S. Gregório (Dial. 4, c. 58), que os céus se abram à voz do sacerdote, durante esse santo sacrifício, e que coros de anjos assistam a esse sublime mistério de Jesus Cristo. S. Agostinho chega até a dizer que os anjos se colocam ao lado do sacerdote para servi-lo como ajudantes.ler...

quinta-feira, 15 de novembro de 2012

LES VOIES DE LA CONNAISSANCE DE DIEU . THE AIM OF ECUMENISM IS THE UNITY OF DIVIDED CHRISTIANS


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LES VOIES DE LA CONNAISSANCE DE DIEU

Cité du Vatican, 14 novembre 2012 (VIS). Au cours de l'audience générale tenue Salle Paul VI, le Saint-Père a consacré sa catéchèse au trois voies de la connaissance de Dieu: Tout d'abord, a dit Benoît XVI, "Dieu a toujours l'initiative sur l'homme. C'est lui qui nous éclaire le chemin dans sa direction, nous oriente et précède nos initiatives, dans le respect de notre liberté... Il ne cesse de nous chercher, fidèle à l'homme qu'il a créé, rédempteur qui lui demeure proche par amour. Cette certitude doit nous accompagner chaque jour... Notre époque, nous le voyons bien, est difficile pour la foi, souvent peu ou mal comprise, contesté et même refusée... Il y avait autrefois en occident une société considérée comme chrétienne, imprégnée de la foi, où la référence et l'adhésion à Dieu étaient naturelles pour la majorité. L'incroyant devait lui se justifier. La situation est changée et c'est le croyant qui, de plus en plus, doit être prêt à justifier sa foi... Ainsi s'est manifesté un phénomène particulièrement dangereux pour la foi. Il s'agit d'une forme d'athéisme pratique dans lequel ne sont contestés ni la vérité de la foi ou les rites, mais qui les considère simplement comme sans importance pour l'existence quotidienne, inutiles et détachés de la vie. Ainsi en vient on à croire en Dieu de manière superficielle ou à vivre comme s'il n'existait pas... Une attitude finalement encore plus destructive car pétrie d'indifférence envers la foi, envers la question de Dieu".

"En réalité, séparé de Dieu, l'homme est réduit à sa seule dimension horizontale, ce qui est la cause fondamentale des totalitarismes aux tragiques conséquences du siècle dernier, comme de la crise des valeurs que nous connaissons. En écartant la référence à Dieu, c'est l'horizon éthique même qui est occulté... Face à cela, fidèle au mandat du Christ, l'Eglise ne cesse d'affirmer la vérité sur l'homme et son destin... Quelles sont donc les réponses que la foi propose avec respect à l'athéisme, au scepticisme, à l'indifférence pour la verticalité, afin que l'homme contemporain puisse réfléchir à l'existence de Dieu et trouver le chemin qui y conduit? Voici certaines des voies qui découlent de la simple réflexion comme de la force de la foi... Il faut aider l'homme d'aujourd'hui à retrouver la contemplation de la création, sa beauté. Le monde n'est pas une masse informe, et plus nous le connaissons mieux nous percevons ses mécanismes merveilleux, et derrière eux un dessein, une intelligence créatrice. Einstein disait que les lois de la nature révèlent une raison tellement supérieure que la somme des raisonnements humains apparaît insignifiante".

Pour illustrer une deuxième voie, le Saint-Père a cité le Catéchisme: Avec son ouverture à la vérité et à la beauté, avec son sens du bien moral, avec sa liberté et sa conscience, son aspiration à l'infini et au bonheur, l'homme s'interroge sur l'existence de Dieu. Et pour la troisième il a affirmé que par la foi le croyant est uni à Dieu, ouvert à sa grâce et à la force de sa charité... Il ne craint pas de monter sa foi, il est ouvert au dialogue et exprime son amitié profonde pour tout homme, ouvert qu'il est à l'espérance comme au besoin de se racheter, d'atteindre la lumière à venir. La foi est rencontre avec Dieu, qui oeuvre et parle dans l'histoire... Un chrétien, une communauté fidèle au projet de Dieu...constitue une voie privilégiée pour qui est indifférent ou qui doute de son existence et de son action... Beaucoup ont aujourd'hui une conception étroite de la foi chrétienne qu'ils voient comme un banal système de croyances et de valeurs, et non pas comme la vérité d'un Dieu qui s'est révélé dans l'histoire et désire communier avec l'homme... En vérité, avant d'être une doctrine le christianisme est une rencontre entre l'homme et Dieu en Jésus-Christ. Avant d'être une morale ou une éthique, c'est l'évènement de l'amour et de l'accueil pour Jésus". 

THE AIM OF ECUMENISM IS THE UNITY OF DIVIDED CHRISTIANS


Vatican City,  (VIS) - The close ties between the work of evangelisation and the need to overcome the divisions that still exist between Christians was the central theme of this morning's address by the Holy Father to the members and consultors of the Pontifical Council for Promoting Christian Unity on the occasion of their plenary assembly dedicated to "The importance of ecumenism in new evangelisation".

The Pope stated, "We cannot follow a truly ecumenical path while ignoring the crisis of faith affecting vast areas of the world, including those where the proclamation of the Gospel was first accepted and where Christian life has flourished for centuries. On the other hand, we cannot ignore the many signs indicating a persistent need for spirituality, which is made manifest in various ways. The spiritual poverty of many of our contemporaries, who no longer perceive the absence of God in their lives as a form of deprivation, poses a challenge to all Christians".

In this context, the Pope added, "we, believers in Christ, are called upon to return to the essential, to the heart of our faith, to bear witness to the living God before the world. … We must not forget what it is that unites us: our faith in God the Father and Creator, revealed in His Son Jesus Christ, effusing the Spirit which revives and sanctifies. This is the faith we received in Baptism and it is the faith that, in hope and charity, we can profess together.

"In the light of the primacy of faith we may also understand the importance of the theological dialogues and conversations in which the Catholic Church is engaged with Churches and ecclesial communities. Even when we cannot discern the possibility of re-establishing full communion in the near future, such dialogue facilitates our awareness, not only of resistance and obstacles, but also of the richness of experience, spiritual life and theological reflection, which become a stimulus for ever deeper testimony".

Benedict XVI emphasised that the aim of ecumenism is "visible unity between divided Christians". To this end, we must "dedicate all our forces, but we must also recognise that, in the final analysis, this unity is a gift from God, and may come to us only from the Father through His Son, because the Church is His Church. From this perspective we see, not only the importance of invoking the Lord for visible unity, but also how striving after this end is relevant to the new evangelisation.

"It is good to journey together towards this objective, provided that the Churches and ecclesial communities do not stop along the way, accepting the various contradictions between them as normal or as the best they can hope to achieve. It is, rather, in the full communion of faith, Sacraments and ministry that the strength of God, present and working in the world, will find concrete expression".

The Pope concluded, "Unity is on the one hand the fruit of faith and, on the other, a means - almost a prerequisite - for an increasingly credible proclamation of the faith to those who do not yet know the Saviour or who, while having received the proclamation of the Gospel, have almost forgotten this valuable gift. True ecumenism, recognising the primacy of divine action, demands above all patience, humility, and abandonment to the will of the Lord. In the final analysis, ecumenism and new evangelisation both require the dynamism of conversion, understood as the sincere desire to follow Christ and to fully adhere to the will of the Father".

Una cum Papa Nostro: Missa Pontifical na basílica de São Pedro

Christus Rex Pilgrimage, Australia. News from the U.K. Ordinariate

Christus Rex Pilgrimage, Australia

From a reader in Australia:


The Christus Rex Pilgrimage is an annual pilgrimage where pilgrims walk between two provincial shrines in Victoria, Australia, through the countryside. Celebrating it’s 22nd year, it is in honour of the solemn feast of Christ the King starting from St Patrick’s Cathedral, Ballarat on Friday, 26th October, and ending after three days of walking at Sacred Heart Cathedral, Bendigo on the Sunday feast, on the 28th of October 2012.

Inspired by the Paris to Chatres Pilgrimage, it draws together over 300 pilgrims from all around Australia and even overseas, to walk, pray, and sing hymns to give glory to Christ the King.

The traditional Mass is celebrated daily at local churches, except for Saturday, where an outdoor Mass is held. This year saw the commission of the new Eucharistic Tent designed by architect, Sidney Rofe, for the Archdiocese of Sydney. This tent was custom made for the archdiocesian Corpus Christi procession and was kindly loaned by Bishop Julian Porteous, auxillary bishop of Sydney.

Testimony to it’s enrichment to the lives of Catholics around Australia, 12 priests devoted their weekend for the spiritual benefit of the pilgrims, through the wet, cold and then sweltering heat of Victoria. Pilgrims were also met at the Cathedral by Bishop Les Tomlinson, the bishop of Sandhurst, who also sat in choir during the Solemn Mass.










Photos by Tien Nguyen

Fr. Aidan Nichols on the Ordinariate and the New Evangelization

Continuing on with our consideration of the Ordinariate today, I wanted to draw your attention to an address given by Fr. Aidan Nichols, entitled, Visionary Gleamings: The Ordinariate and the New Evangelization.

In his address, Fr. Nichols gives consideration to some of the potentialities and opportunities he sees for the Ordinariate. You can read the entire address there, but here is an excerpt I think many of our readers will find of interest:

News from the U.K. Ordinariate

One of our Ordinariate readers sends in the following bit of news:

Last week the Ordinary of the Personal Ordinariate of Our Lady of Walsingham, Monsignor Keith Newton, celebrated Mass according to the Book of Divine Worship at the end of a conference on mission and evangelisation at the church of St Patrick's, Soho Square, and at the former Anglican church of St Agatha's, Portsmouth. During the latter, a peal of bells was blessed.

At Soho Square, well-known Anglican hymns replaced the Proper of the Mass, and the setting by John Merbecke was used for the Ordinary of the Mass. In Portsmouth hymns were sung, and English plainchant propers were led by the schola. The Ordinary of the Mass was Missa de Angelis set using the traditional language English texts as published by the Plainsong and Medieval Music Society. As is proper to the Anglican tradition, Holy Communion was distributed under both kinds, kneeling at a Communion Rail. Following the example of the Holy Father, a paten (Communion Plate) was used.

Each celebration represented examples of liturgical traditions within High Church Anglicanism, one which looks towards distinctive English ceremony and vesture, the other toward the Roman liturgical tradition as embodied by the likes of the Society of SS Peter and Paul, and the artist Martin Travers.

Here are some photos. First, from Soho Square.





(And here are a bit of video from the same:)

Introit - 9 Nov 2012 from UKOrdinariate on Vimeo.


And here are a few from Portsmouth.




Photos copyright the Personal Ordinariate of Our Lady of Walsingham
 
http://www.newliturgicalmovement.org/

Solemne Santa Misa Pontifical en la Forma Extraordinaria oficiada por el Obispo de Bayona en París (Francia).Santa Misa tradicional en Berlín (Alemania). Santa Misa Tridentina en Tucumán (Argentina) ySanta Misa Pontifical en La Plata


 

Solemne Santa Misa Pontifical en la Forma Extraordinaria oficiada por el Obispo de Bayona en París (Francia)

El pasado domingo 11 de noviembre, S. E. Monseñor Marc Marie Max Aillet, obispo de Bayona (Francia), ofició la solemne Santa Misa Pontifical, en la Forma Extraordinaria del Rito Romano, por Francia, en la iglesia parroquial de San Francisco Javier del distrito VII de París (Francia), con gran concurrencia de clero y fieles, y coincidiendo con el XXX Aniversario de la fundación de la asociación Nuestra Señora de la Cristiandad. Fotos: François N. Schola Sainte Cécile.

Santa Misa tradicional en Berlín (Alemania) por Todos los Santos y Todos los fieles difuntos

Los días 1 y 2 de noviembre pasados, festividades de Todos los Santos y de Todos los fieles difuntos, respectivamente, el P. Gerald Goesche, ISPN (Instituto San Felipe Neri), ofició la solemne Santa Misa tradicional -tres últimas fotos- y la Santa Misa de Réquiem -tres primeras fotos-, en la iglesia de Santa Afra, en Berlín (Alemania). El repertorio musical escogido para ambas ocasiones fueron la "Missa O quam con gloriosum", de Tomás Luis de Victoria (el 1 de noviembre), y la Missa Gregoriana de Requiem (el 2 de noviembre). Pueden escucharse las grabaciones en directo de ambas ceremonias, así como ver más fotografías, en el blog del Instituto San Felipe Neri de Berlín.
 

Santa Misa Tridentina en Tucumán (Argentina)

También el pasado 28 de octubre, festividad de Cristo Rey, y también en Argentina, el P. Guido Casillo, O.P., ofició la solemne Santa Misa tradicional, cantada, en la capilla del Buen Pastor de San Miguel de Tucumán. Como en la entrada anterior, pueden verse más imágenes en el blog Dóminus vobíscum. A partir del pasado domingo, 11 de noviembre, la Santa Misa Tridentina se oficiará todos los domingos, a las 20 horas, en dicha capilla, sita en la calle Mendoza -entre Junín y Salta-.

Fotos de la Santa Misa Pontifical en La Plata (Argentina)

Hace un mes publiqué una entrada anunciando la Santa Misa Pontifical en la Forma Extraordinaria del Rito Romano, que iba a oficiar S. E. Mons. Antonio Baseotto, Arzobispo Castrense Emérito de Argentina, en la iglesia de Nuestra Señora de la Medalla Milagrosa de La Plata (Argentina), el pasado 28 de octubre, festividad de Cristo Rey (ver aquí). Ahora, en esta entrada, publico algunas fotos de la ceremonia. Pueden verse más en el blog Dóminus vobíscum.
 
 
http://catholicvs.blogspot.pt/

UDIENZA AI PARTECIPANTI ALLA PLENARIA DEL PONTIFICIO CONSIGLIO PER LA PROMOZIONE DELL’UNITÀ DEI CRISTIANI, 15.11.2012

 


Alle ore 12 di questa mattina, nella Sala Clementina del Palazzo Apostolico Vaticano, il Santo Padre Benedetto XVI riceve in Udienza i partecipanti alla Plenaria del Pontificio Consiglio per la Promozione dell’Unità dei Cristiani e rivolge loro il discorso che riportiamo di seguito:

DISCORSO DEL SANTO PADRE 


Signori Cardinali,
Venerati Fratelli nell’Episcopato e nel Sacerdozio,
Cari Fratelli e Sorelle!

Sono lieto di incontrare tutti voi, Membri e Consultori del Pontificio Consiglio per la Promozione dell’Unità dei Cristiani, in occasione della Plenaria. A ciascuno rivolgo il mio cordiale saluto, in particolare al Presidente, il Cardinale Kurt Koch - che ringrazio per le cortesi parole con le quali ha interpretato i comuni sentimenti - al Segretario ed ai Collaboratori del Dicastero, con l’apprezzamento per il loro lavoro al servizio di una causa così decisiva per la vita della Chiesa.
Quest’anno la vostra Plenaria focalizza l’attenzione sul tema: «L’importanza dell’ecumenismo per la nuova evangelizzazione». Con tale scelta vi ponete opportunamente in continuità con quanto è stato preso in esame durante la recente Assemblea Generale Ordinaria del Sinodo dei Vescovi, e, in un certo senso, intendete dare una forma concreta, secondo la particolare prospettiva del Dicastero, a quanto è emerso in quell’Assise. Inoltre, la riflessione che state conducendo si inserisce molto bene nel contesto dell’Anno della fede che ho voluto come momento propizio per riproporre a tutti il dono della fede in Cristo risorto, nell’anno in cui celebriamo il 50° anniversario dell’inizio del Concilio Vaticano II. Come è noto, i Padri conciliari hanno inteso sottolineare lo strettissimo legame che esiste tra il compito dell’evangelizzazione e il superamento delle divisioni esistenti tra i cristiani. «Tale divisione - si afferma all’inizio del Decreto sull’ecumenismo, Unitatis redintegratio - contraddice apertamente alla volontà di Cristo, ed è scandalo al mondo e danneggia la santissima causa della predicazione del vangelo a ogni creatura» (n. 1). 
L’affermazione del Decreto conciliare riecheggia la “preghiera sacerdotale” di Gesù, quando, rivolgendosi al Padre, Egli chiede che i suoi discepoli «siano una cosa sola, perché il mondo creda» (Gv 17,21). In questa grande preghiera ben quattro volte invoca l’unità per i discepoli di allora e per quelli del futuro, e due volte indica come scopo di tale unità che il mondo creda, che Lo «riconosca» come mandato dal Padre. C’è dunque uno stretto legame tra la sorte dell’evangelizzazione e la testimonianza dell’unità tra i cristiani.
Un autentico cammino ecumenico non può essere perseguito ignorando la crisi di fede che stanno attraversando vaste regioni del pianeta, tra cui quelle che per prime accolsero l’annuncio del Vangelo e dove la vita cristiana è stata per secoli fiorente. D’altra parte, non possono essere ignorati i numerosi segni che attestano il permanere di un bisogno di spiritualità, che si manifesta in diversi modi. 
La povertà spirituale di molti dei nostri contemporanei, che non percepiscono più come privazione l’assenza di Dio dalla loro vita, rappresenta una sfida per tutti i cristiani. In questo contesto, a noi credenti in Cristo viene chiesto di ritornare all’essenziale, al cuore della nostra fede, per rendere insieme testimonianza al mondo del Dio vivente, cioè di un Dio che ci conosce e che ci ama, nel cui sguardo viviamo; di un Dio che aspetta la risposta del nostro amore nella vita di ogni giorno. 
E’ dunque motivo di speranza l’impegno di Chiese e Comunità ecclesiali per un rinnovato annuncio del Vangelo all’uomo contemporaneo. Dare infatti testimonianza del Dio vivente, che si è fatto vicino in Cristo, è l’imperativo più urgente per tutti i cristiani, ed è anche un imperativo che ci unisce, malgrado l’incompleta comunione ecclesiale che tutt’ora sperimentiamo. Non dobbiamo dimenticare ciò che ci unisce, cioè la fede in Dio, Padre e Creatore, che si è rivelato nel Figlio Gesù Cristo, effondendo lo Spirito che vivifica e santifica. Questa è la fede del Battesimo che abbiamo ricevuto ed è la fede che, nella speranza e nella carità, possiamo insieme professare. Alla luce della priorità della fede si comprende anche l’importanza dei dialoghi teologici e delle conversazioni con le Chiese e Comunità ecclesiali in cui la Chiesa cattolica è impegnata. Anche quando non si intravede, in un immediato futuro, la possibilità del ristabilimento della piena comunione, essi permettono di cogliere, insieme a resistenze e ostacoli, anche ricchezze di esperienze, di vita spirituale e di riflessioni teologiche, che diventano stimolo per una sempre più profonda testimonianza.
Non dobbiamo, però dimenticare che la meta dell’ecumenismo è l’unità visibile tra i cristiani divisi. Questa unità non è un’opera che possiamo semplicemente realizzare noi uomini. 
Noi dobbiamo impegnarci con tutte le nostre forze, ma dobbiamo anche riconoscere che, in ultima analisi, questa unità è dono di Dio, può venire solamente dal Padre mediante il Figlio, perché la Chiesa è la sua Chiesa. In questa prospettiva, appare l’importanza di invocare l’unità visibile dal Signore, ma emerge anche come la ricerca di tale meta sia rilevante per la nuova evangelizzazione. Il fatto di camminare insieme verso questo traguardo è una realtà positiva, a condizione, però, che le Chiese e Comunità ecclesiali non si fermino lungo la strada, accettando le diversità contraddittorie come qualcosa di normale o come il meglio che si possa ottenere. E’ invece nella piena comunione nella fede, nei sacramenti e nel ministero, che si renderà evidente in modo concreto la forza presente ed operante di Dio nel mondo. Attraverso l’unità visibile dei discepoli di Gesù, unità umanamente inspiegabile, si renderà riconoscibile l’agire di Dio che supera la tendenza del mondo alla disgregazione.
Cari amici, voglio augurare che l’Anno della fede contribuisca anche al progresso del cammino ecumenico. L’unità è, da un lato, frutto della fede e, dall’altro, un mezzo e quasi un presupposto per annunciare in modo sempre più credibile la fede a coloro che non conoscono ancora il Salvatore o che, pur avendo ricevuto l’annuncio del Vangelo, hanno quasi dimenticato questo dono prezioso. Il vero ecumenismo, riconoscendo il primato dell’azione divina, esige innanzitutto pazienza, umiltà, abbandono alla volontà del Signore. Alla fine, ecumenismo e nuova evangelizzazione richiedono entrambi il dinamismo della conversione, inteso come sincera volontà di seguire Cristo e di aderire pienamente alla volontà del Padre. Ringraziandovi ancora una volta, invoco volentieri su tutti la Benedizione Apostolica.

© Copyright 2012 - Libreria Editrice Vaticana

quarta-feira, 14 de novembro de 2012

Benedetto XVI Dio precede sempre ogni iniziativa dell’uomo e, anche nel cammino verso di Lui, è Lui per primo che ci illumina, ci orienta e ci guida, rispettando sempre la nostra libertà.

Il Papa: Il Cristianesimo, prima che una morale o un’etica, è l’avvenimento dell’amore, è l’accogliere la persona di Gesù. Per questo, il cristiano e le comunità cristiane devono anzitutto guardare e far guardare a Cristo, vera Via che conduce a Dio

CICLO DI 

UDIENZA GENERALE: VIDEO INTEGRALE
L’UDIENZA GENERALE,  14.11.2012

L’Udienza Generale di questa mattina si è svolta alle ore 10.30 nell’Aula Paolo VI dove il Santo Padre Benedetto XVI ha incontrato gruppi di pellegrini e fedeli giunti dall’Italia e da ogni parte del mondo.Nel discorso in lingua italiana il Papa ha continuato il ciclo di catechesi dedicato all’Anno della fede.
Dopo aver riassunto la Sua catechesi in diverse lingue, il Santo Padre ha rivolto particolari espressioni di saluto ai gruppi di fedeli presenti.
L’Udienza Generale si è conclusa con il canto del Pater Noster e la Benedizione Apostolica.

CATECHESI DEL SANTO PADRE IN LINGUA ITALIANA 

L'Anno della fede. 
Le vie che portano alla conoscenza di Dio

Cari fratelli e sorelle, 

mercoledì scorso abbiamo riflettuto sul desiderio di Dio che l’essere umano porta nel profondo di se stesso. Oggi vorrei continuare ad approfondire questo aspetto meditando brevemente con voi su alcune vie per arrivare alla conoscenza di Dio.
Vorrei ricordare, però, che l’iniziativa di Dio precede sempre ogni iniziativa dell’uomo e, anche nel cammino verso di Lui, è Lui per primo che ci illumina, ci orienta e ci guida, rispettando sempre la nostra libertà. Ed è sempre Lui che ci fa entrare nella sua intimità, rivelandosi e donandoci la grazia per poter accogliere questa rivelazione nella fede. Non dimentichiamo mai l’esperienza di sant’Agostino: non siamo noi a possedere la Verità dopo averla cercata, ma è la Verità che ci cerca e ci possiede.
Tuttavia ci sono delle vie che possono aprire il cuore dell’uomo alla conoscenza di Dio, ci sono dei segni che conducono verso Dio. Certo, spesso rischiamo di essere abbagliati dai luccichii della mondanità, che ci rendono meno capaci di percorrere tali vie o di leggere tali segni. Dio, però, non si stanca di cercarci, è fedele all’uomo che ha creato  e redento, rimane vicino alla nostra vita, perché ci ama. E’ questa una certezza che ci deve accompagnare ogni giorno, anche se certe mentalità diffuse rendono più difficile alla Chiesa e al cristiano comunicare la gioia del Vangelo ad ogni creatura e condurre tutti all’incontro con Gesù, unico Salvatore del mondo. Questa, però, è la nostra missione, è la missione della Chiesa e ogni credente deve viverla gioiosamente, sentendola come propria, attraverso un’esistenza animata veramente dalla fede, segnata dalla carità, dal servizio a Dio e agli altri, e capace di irradiare speranza. Questa missione splende soprattutto nella santità a cui tutti siamo chiamati.
Oggi, lo sappiamo, non mancano le difficoltà e le prove per la fede, spesso poco compresa, contestata, rifiutata. San Pietro diceva ai suoi cristiani: «Siate sempre pronti a rispondere, ma con dolcezza e rispetto, a chiunque vi chiede conto della speranza che è nei vostri cuori» (1 Pt 3,15). 
Nel passato, in Occidente, in una società ritenuta cristiana, la fede era l’ambiente in cui ci si muoveva; il riferimento e l’adesione a Dio erano, per la maggioranza della gente, parte della vita quotidiana. Piuttosto era colui che non credeva a dover giustificare la propria incredulità. Nel nostro mondo, la situazione è cambiata e sempre di più il credente deve essere capace di dare ragione della sua fede. 
Il beato Giovanni Paolo II, nella sua Enciclica  Fides et ratio, sottolineava come la fede sia messa alla prova anche nell’epoca contemporanea, attraversata da forme sottili e capziose di ateismo teorico e pratico (cfr nn. 46-47). Dall’Illuminismo in poi, la critica alla religione si è intensificata; la storia è stata segnata anche dalla presenza di sistemi atei, nei quali Dio era considerato una mera proiezione dell’animo umano, un’illusione e il prodotto di una società già falsata da tante alienazioni. 
Il secolo scorso poi ha conosciuto un forte processo di secolarismo, all’insegna dell’autonomia assoluta dell’uomo, considerato come misura e artefice della realtà, ma impoverito del suo essere creatura «a immagine e somiglianza di Dio». Nei nostri tempi si è verificato un fenomeno particolarmente pericoloso per la fede: c’è infatti una forma di ateismo che definiamo, appunto, «pratico», nel quale non si negano le verità della fede o i riti religiosi, ma semplicemente si ritengono irrilevanti per l’esistenza quotidiana, staccati dalla vita, inutili. Spesso, allora, si crede in Dio in modo superficiale e si vive «come se Dio non esistesse» (etsi Deus non daretur). Alla fine, però, questo modo di vivere risulta ancora più distruttivo, perché porta all’indifferenza verso la fede e la questione di Dio.
In realtà, l’uomo, separato da Dio, è ridotto a una sola dimensione, quella orizzontale, e proprio questo riduzionismo è una delle cause fondamentali dei totalitarismi che hanno avuto conseguenze tragiche nel secolo scorso, come pure della crisi di valori che vediamo nella realtà attuale. Oscurando il riferimento a Dio, si è oscurato anche l’orizzonte etico, per lasciare spazio al relativismo e ad una concezione ambigua della libertà, che invece di essere liberante finisce per legare l’uomo a degli idoli. Le tentazioni che Gesù ha affrontato nel deserto prima della sua missione pubblica, rappresentano bene quali «idoli» affascinano l’uomo, quando non va oltre se stesso. Se Dio perde la centralità, l’uomo perde il suo giusto posto, non trova più la sua collocazione nel creato, nelle relazioni con gli altri. Non è tramontato ciò che la saggezza antica evoca con il mito di Prometeo: l’uomo pensa di poter diventare egli stesso «dio», padrone della vita e della morte.
Di fronte a questo quadro, la Chiesa, fedele al mandato di Cristo, non cessa mai di affermare la verità sull’uomo e sul suo destino. Il Concilio Vaticano II afferma sinteticamente: «La ragione più alta della dignità dell’uomo consiste nella sua vocazione alla comunione con Dio. Fin dal suo nascere l’uomo è invitato al dialogo con Dio: non esiste, infatti, se non perché, creato per amore da Dio, da Lui sempre per amore è conservato, né vive pienamente secondo verità se non lo riconosce liberamente e non si affida al suo Creatore» (Cost. Gaudium et spes, 19).
Quali risposte, allora è chiamata a dare la fede, con «dolcezza e rispetto», all’ateismo, allo scetticismo, all’indifferenza verso la dimensione verticale, affinché l’uomo del nostro tempo possa continuare ad interrogarsi sull'esistenza di Dio e a percorrere le vie che conducono a Lui? 
Vorrei accennare ad alcune vie, che derivano sia dalla riflessione naturale, sia dalla stessa forza della fede. Le vorrei molto sinteticamente riassumere in tre parole: il mondo, l’uomo, la fede.
La prima: il mondo. Sant’Agostino, che nella sua vita ha cercato lungamente la Verità ed è stato afferrato dalla Verità, ha una bellissima e celebre pagina, in cui afferma: «Interroga la bellezza della terra, del mare, dell’aria rarefatta e dovunque espansa; interroga la bellezza del cielo…, interroga tutte queste realtà. Tutte ti risponderanno: guardaci pure e osserva come siamo belle. La loro bellezza è come un loro inno di lode. Ora queste creature così belle, ma pur mutevoli, chi le ha fatte se non uno che è la bellezza in modo immutabile?» (Sermo 241, 2: PL 38, 1134). 
Penso che dobbiamo recuperare e far recuperare all’uomo d’oggi la capacità di contemplare la creazione, la sua bellezza, la sua struttura. Il mondo non è un magma informe, ma più lo conosciamo e più ne scopriamo i meravigliosi meccanismi, più vediamo un disegno, vediamo che c’è un’intelligenza creatrice. Albert Einstein disse che nelle leggi della natura «si rivela una ragione così superiore che tutta la razionalità del pensiero e degli ordinamenti umani è al confronto un riflesso assolutamente insignificante» (Il Mondo come lo vedo io, Roma 2005). 
Una prima via, quindi, che conduce alla scoperta di Dio è il contemplare con occhi attenti la creazione.
La seconda parola: l’uomo. 
Sempre sant’Agostino, poi, ha una celebre frase in cui dice che Dio è più intimo a me di quanto lo sia io a me stesso (cfr Confessioni III, 6, 11). Da qui egli formula l’invito: «Non andare fuori di te, rientra in te stesso: nell’uomo interiore abita la verità» (De vera religione, 39, 72). Questo è un altro aspetto che noi rischiamo di smarrire nel mondo rumoroso e dispersivo in cui viviamo: la capacità di fermarci e di guardare in profondità in noi stessi e leggere questa sete di infinito che portiamo dentro, che ci spinge ad andare oltre e rinvia a Qualcuno che la possa colmare. Il Catechismo della Chiesa Cattolica afferma: «Con la sua apertura alla verità e alla bellezza, con il suo senso del bene morale, con la sua libertà e la voce della coscienza, con la sua aspirazione all’infinito e alla felicità, l’uomo si interroga sull’esistenza di Dio» (n. 33).
La terza parola: la fede. Soprattutto nella realtà  del nostro tempo, non dobbiamo dimenticare che una via che conduce alla conoscenza e all’incontro con Dio è la vita della fede. Chi crede è unito a Dio, è aperto alla sua grazia, alla forza della carità. Così la sua esistenza diventa testimonianza non di se stesso, ma del Risorto, e la sua fede non ha timore di mostrarsi nella vita quotidiana, è aperta al dialogo che esprime profonda amicizia per il cammino di ogni uomo, e sa aprire luci di speranza al bisogno di riscatto, di felicità, di futuro. La fede, infatti, è incontro con Dio che parla e opera nella storia e che converte la nostra vita quotidiana, trasformando in noi mentalità, giudizi di valore, scelte e azioni concrete. Non è illusione, fuga dalla realtà, comodo rifugio, sentimentalismo, ma è coinvolgimento di tutta la vita ed è annuncio del Vangelo, Buona Notizia capace di liberare tutto l’uomo. 
Un cristiano, una comunità che siano operosi e fedeli al progetto di Dio che ci ha amati per primo, costituiscono una via privilegiata per quanti sono nell’indifferenza o nel dubbio circa la sua esistenza e la sua azione. Questo, però, chiede a ciascuno di rendere sempre più trasparente la propria testimonianza di fede, purificando la propria vita perché sia conforme a Cristo. 
Oggi molti hanno una concezione limitata della fede cristiana, perché la identificano con un mero sistema di credenze e di valori e non tanto con la verità di un Dio rivelatosi nella storia, desideroso di comunicare con l’uomo a tu per tu, in un rapporto d’amore con lui. In realtà, a fondamento di ogni dottrina o valore c’è l’evento dell’incontro tra l’uomo e Dio in Cristo Gesù. 
Il Cristianesimo, prima che una morale o un’etica, è l’avvenimento dell’amore, è l’accogliere la persona di Gesù. Per questo, il cristiano e le comunità cristiane devono anzitutto guardare e far guardare a Cristo, vera Via che conduce a Dio.
Grazie.

© Copyright 2012 - Libreria Editrice Vaticana
 

terça-feira, 13 de novembro de 2012

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    Profecias de la Beata Anne Catherine Emmerich : Vi arriba dibujar líneas y trazar figuras, y vi como, en seguida, en la tierra, un hombre había levantado un plano, un dibujo. Vi la acción de los orgullosos espíritus planetarios en sus relaciones con esta construcción hacerse sentir hasta en las regiones más alejadas. Vi llegar hasta distancias inmensas el impulso dado para la preparación de todo lo que podía ser necesario y útil para la construcción y para la existencia de esta iglesia; vi allí concurrir a todo tipo de personas y de cosas, de doctrinas y de opiniones. Había en todo esto, algo de orgulloso, de presuntuoso, de violento y todo parecía tener éxito y me era mostrado en una multitud de escenas. Vi subir y bajar a los espíritus planetarios, los vi enviar rayos sobre las personas que construían el edificio. Todo se hacía según la razón humana. LER....

    SANTO ANTÓNIO MARIA CLARET E A SANTA MISSA

    http://coracaosacerdotal.files.wordpress.com/2010/10/santo-antonio-maria-claret-e-clara.jpg
     

    Como Deus é tão bom, não quer a morte do pecador, mas que ressuscite da primeira morte (97); para isto e para que não caia na segunda (98) está o sacrifício.
    Quem oferece sacrifício coloca seus pecados sobre a vítima e esta deve morrer ou ficar destruída por eles e depois o oferente deve comer da vítima para participar dos seus méritos: eis aqui o porquê da missa e comunhão. E o concílio de Trento deseja que em todas as missas os fiéis que assistem comunguem nelas

    Assistamos nós o santo sacrifício da missa, não só nos domingos e festas e dias de preceito, por ser um dever, mas também nos demais dias por devoção (108). Devemos oferecer este santo sacrifício a Deus não só para dar-lhe satisfação de nossas faltas, culpas e pecados, mas também em reconhecimento do seu supremo domínio sobre nós e em testemunho dos benefícios e graças que Ele nos dispensa continuamente, pois tudo o que temos dele recebemos; e em agradecimento por tantas graças recebidas, isto é, devemos assistir este sacrifício que o mesmo Jesus Cristo oferece ao eterno Pai por nós. Ele é a principal oferenda e a vítima oferecida. Jesus Cristo é o advogado que temos no céu com Deus Pai, que intercede por nós, como diz São João (109). E, além disso, o temos sobre o altar, que sempre intercede por nós, como assegura São Paulo (110).LER...

    domingo, 11 de novembro de 2012

    Tonsura en la Fraternidad de San Pedro . Misa tradicional en Universidad Franciscana

     

    La Fraternidad Sacerdotal de San Pedro ha celebrado recientemente dos ceremonias de tonsura, en sus dos seminarios, en Denton, Nebraska, Estados Unidos, y en Wigratzbad, Alemania. FSSP

    La celebrada en Denton, el pasado 20 de octubre, fue presidida por el Obispo Monseñor Fabian Bruskewitz, Obispo Emérito de Lincoln.




    La de Wigratzbad, el pasado 18 de octubre, fue presidida por Monseñor Wolfgang Haas, Arzobispo de Vaduz:




    Por otra parte, este instituto tradicional, fundado el 18 de julio de 1988 y erigido tres meses más tarde como Instituto de Derecho Pontificio, ha hecho públicas sus estadísticas actualizadas.

    La Fraternidad de San Pedro cuenta hoy con 397 miembros. De ellos 236 son sacerdotes (221 incardinados en la sociedad, 9 incorporados ad annum, 4 asociados y 2 postulantes); y 161 seminaristas (de ellos, 11 son diáconos). La edad media de los miembros de la fraternidad es de 37 años.

    Están presentes en 116 diócesis, y ofician la Misa dominical en 168 lugares. Regentan 25 Parroquias Personales erigidas por los Obispos, con uso exclusivo de la Forma Extraordinaria, conforme al motu proprio Summorum Pontificum.

    Estadísticas de la FSSP
     

    Pro Defunctis: Brasil

    Celebración de la Santa Misa, Novus Ordo, en el Cementerio Municipal de la Diócesis de Frederico Westphalen, en Brasil, por su Obispo, Monseñor don Antonio Carlos Rossi Keller. Uso de ornamentos negros en el Novus Ordo, y de las velas de color amarillo propias de la Misa de difuntos.



    Misa de Cristo Rey en Brasil

    Celebración de la Santa Misa con la Forma Extraordinaria del Rito Romano, el pasado 28 de octubre, solemnidad de Cristo Rey del Universo, en la Parroquia de Nuestro Señor Buen Jesús Crucificado, en Bom Jesus do Itabapoana, Río de Janeiro, Brasil. Sesenta niños recibieron la primera comunión de manos del Párroco, reverendo Ivoli F. Latrônico.

    Salvem a Liturgia!



    Misa tradicional en Universidad Franciscana

    Recientemente contábamos a nuestros lectores que la fiesta de Cristo Rey, con el calendario litúrgico tradicional, se celebró con una Misa solemne con la Forma Extraordinaria del Rito Romano, en la Universidad Franciscana de Steubenville, en Ohio, Estados Unidos. Ahora, la web New Liturgical Movement ofrece nuevas fotografías sobre esta Misa y también una de la celebración de la Misa tradicional en la conmemoración de los Fieles Difuntos.



     
     

    Pontifical de Réquiem en Florencia

    Monseñor Luciano Giovanetti, Obispo Emérito de Fiésole, oficisió Santa Misa Pontifical de Réquiem, con la Forma Extraordinaria del Rito Romano, en la iglesia de los Santos Miguel y Cayetano de Florencia, asistido por sacerdotes y seminaristas del Instituto de Cristo Rey Sumo Sacerdote.