quarta-feira, 30 de setembro de 2009

Le Cardinal Ratzinger célèbre la messe tridentine


C'est arrivé en 1990, en Bavière, au séminaire de la Fraternité Saint-Pierre. Et c'est l'occasion de découvrir un site de videos catholiques (18/11/2008)

En 1990 le cardinal Ratzinger a célébré à Wigratzbad une messe pontificale avec l'assistance de la Fraternité sacerdotale de saint Pierre


Situé en Allemagne, à la limite de la Bavière et du pays souabe, le Séminaire International Saint-Pierre de Wigratzbad est à la fois le premier séminaire de la Fraternité du même nom et sa première maison érigée canoniquement.
Source: http://www.fssp.org/fr/photos.htm
Le site propose aussi un bel album photo de l'évènement.
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Voici un petit diaporama-souvenir sonorisé (transmis par MFB).
A voir ausi directement sur le site en plus grand format: http://www.gloria.tv:80/?video=agtkuv3ltskjmi7lrgdo
Il est issu d'un site à découvrir, qui propose en téléchargement des videos à caractère religieux: http://www.gloria.tv/

Introduction à la messe tridentine

Encyclique Mediator Dei du pape Pie XII

La messe tridentine fait intervenir des acteurs dont le rôle est très précisément codifié. Le missel de 1962 décrit même en détail chacun des gestes que doivent faire certains de ces acteurs pendant la messe :

Le prêtre. Lors de la messe, il ne se présente pas lui-même et ne parle pas en s’exprimant lui-même mais pour le Christ, « in persona Christi ». Il met sa personne à la disposition du Christ. Le pouvoir sacerdotal qu’il a reçu par le sacrement de l’ordre le place au dessus des fidèles dans la célébration de la messe. Comme l’écrit Pie XII dans son encyclique Mediator Dei : « Nous estimons cependant devoir rappeler que le prêtre remplace le peuple uniquement parce qu’il représente la personne de Notre-Seigneur Jésus-Christ en tant que Chef de tous les membres s’offrant lui-même pour eux ; quand il s’approche de l’autel, c’est donc en tant que ministre du Christ, inférieur au Christ, mais supérieur au peuple ».

Les servants d'autel, qu’on appelle aussi les enfants de chœur, qui assistent le prêtre pendant la célébration. Parmi eux on distingue :

  • Le cérémoniaire , chargé d’organiser la cérémonie et de s’assurer de son bon déroulement.
  • Les acolytes dont le rôle est de servir à l’autel le prêtre ou le diacre.
  • Le thuriféraire qui porte l’encens et l’encensoir. Il porte le bénitier pendant l’aspersion.
  • Les céroféraires , deux acolytes qui portent les cierges pendant la procession d’entrée et la lecture de l’évangile.

Les dimanches ordinaires les fonctions de cérémoniaire et de thuriféraire sont supprimées. Lors de cérémonies particulièrement somptueuses on a aussi :

  • Le porte-croix , en tête de la procession d’entrée et de sortie.
  • Le porte-navette assistant du thuriféraire. La navette est un vase allongé en forme de nef qui contient l’encens.

Bien sûr si le nombre d’enfants de chœur n’est pas suffisant certaines de ces fonctions seront exercées par la même personne. Les types de servants d'autel sont restés les mêmes après Vatican II.

La chorale. Elle chante le « propre » de la messe et accompagne le chant des fidèles. On appelle « propre » de la messe , les chants qui peuvent changer à chaque messe. Il s’agit de l’introït, du Graduel, de l’Alléluia, du psaume, de l’Offertoire et de la Communion. Par opposition, les chants de l’ordinaire sont ceux dont le texte ne change jamais : le Kyrie, le Gloria, le Credo, le Sanctus et l’Agnus Dei ( qui peut être modifié pendant les messes de Requiem ). Même si la chorale a un rôle central, les textes officiels encouragent la participation des fidèles au chant, y compris pour le « propre », s’ils sont suffisamment exercés au chant grégorien. ( Instruction sur la Musique Sacrée et la Sainte Liturgie – Sacrée Congrégation des Rites – Septembre 1958 ).

Le chant grégorien, même après Vatican II, reste le chant liturgique officiel de l’Eglise catholique romaine comme l’indique cet extrait de la Constitution sur la Sainte Liturgie : « L'Église reconnaît dans le chant grégorien le chant propre de la liturgie romaine; c'est donc lui qui, dans les actions liturgiques, toutes choses égales d'ailleurs, doit occuper la première place. » ( Paragraphe 116 ).

Les fidèles. Ils participent à la cérémonie. Pie XII, dans son encyclique Mediator Dei, précise même : « non d’une manière passive et négligente et en pensant à autre chose, mais avec une attention et une ferveur qui les unissent étroitement au Souverain Prêtre ». Même si le missel de 1962 ne mentionne presque pas les fidèles, ils sont invités à s’associer à la célébration du prêtre par leurs chants, leurs prières, leurs offrandes et leur participation à l’eucharistie.


La messe tridentine - messe chantée sans encensements

L’intervention de ces acteurs dépend de la forme de célébration de la messe tridentine. On distingue ainsi :

La messe pontificale. La messe pontificale est une messe célébrée par un évêque entouré par son clergé. Le Directoire pour la pastorale de la messe à l'usage des diocèses de France de Novembre 1956 la présente comme « la réalisation la plus parfaite de la célébration liturgique ». Elle est la plus ancienne et constitue la référence des autres messes.

La grand messe. La grand messe est une messe célébrée par un prêtre où celui-ci chante la Collecte, la Préface, le Pater et la Postcommunion et où le peuple et la chorale chantent l'ordinaire et le propre.

  • La grand messe solennelle est une messe pendant laquelle le célébrant est assisté par un diacre et si possible un sous diacre
  • La grand messe chantée est une messe pendant laquelle le prêtre n’est assisté que par des servants. La grand messe chantée ordinaire se célèbre sans encensements. Ceux ci sont souvent autorisés pour les grandes solennités.

La messe lue. La messe lue est une messe ou le célébrant ne chante aucune prière. On l’appelle aussi une « messe basse ». Les fidèles peuvent chanter pendant cette messe si cela n’oblige pas le prêtre à attendre.

La messe sans le peuple ou messe privée. Le Directoire pour la pastorale de la messe de Novembre 1956 confirme la légitimité et la dignité de ces messes parce que , je cite, « le prêtre ne cesse jamais de représenter à la fois le Christ et toute l'Eglise »

Sources :

fonte:http://frederic.simon1.free.fr/

Correios evocam Apóstolo da Caridade


Francisco Rodrigues da Cruz nasceu em Alcochete há pouco mais de 150 anos, precisamente uma semana antes de morrer, em França, o Santo Cura d’Ars, João Maria Vianney.

A coincidência é notável, uma vez que a vida daquele que viria a ser o Pe. Cruz tem fortes semelhanças com a do padroeiro do Ano Sacerdotal. Ambos se deixaram apaixonar pelo sacerdócio, ambos forjaram uma fortíssima ligação com o povo cristão que serviam. Ambos eram já aclamados como santos por esse mesmo povo, antes sequer de falecer.

No caso do Pe. Cruz, ainda não contava 40 anos e já era procurado por multidões. Foi ordenado sacerdote em 1882, aos 23 anos, e cedo começou a dar expressão à sua vocação de servir os mais necessitados e excluídos da sociedade.

Em 1925 descreve essa vocação ao então Patriarca de Lisboa, D. António Mendes Belo: “Há muitos anos que eu me sinto atraído, talvez por especial vocação da misericórdia de Deus Nosso Senhor, para ajudar espiritualmente os presos da cadeia, os doentes dos hospitais, os pobrezinhos e abandonados, a tantos pecadores e almas desamparadas que Nosso Senhor me envia ou põe no meu caminho. Tenho também grande consolação em ajudar os Párocos nos exercícios de piedade e mais encargos do seu ministério, indo por toda a parte levar, na medida das minhas forças, os socorros da religião a muitas pessoas a quem não é fácil chegarem por outra via.” Ficaria conhecido para a posteridade como o Apóstolo da Caridade.

Âncora na tempestade

Exerceu o seu apostolado numa época crítica para a Igreja portuguesa, a mãos primeiro com uma monarquia liberal e, posteriormente, uma república profundamente anti-clerical. Nesses tempos a sua simples dedicação, e sobretudo a sua coerência interna, servia de suporte a todos os que não se reviam nas políticas que ordenavam fechar igrejas e maltratar religiosos.

Em 1940, já com 80 anos, ingressa nos Jesuítas. A sua saúde não lhe dá tréguas, e sofre bastante no corpo. Tudo aceita com a caridade que se lhe conhecia, e não deixa de dar graças a Deus pela sua longa vida: “Dou muitas graças a Deus por ter chegado a esta idade de 89 anos, sendo bastante doente desde há muito anos, e peço a tão Bom Senhor a graça de, no resto da minha vida, O amar sempre e fazer amar de muitas almas. Seja esta sempre a minha vontade: Coração de Jesus fazei que eu Vos ame e Vos faça amar”.

Deixou finalmente este mundo em 1948. Morreu sentado na cadeira do seu quarto, de terço na mão. Não passam três anos até que se abre o processo de beatificação, concluído em 1965 e aprovado na Santa Sé em 1971, ano em que é declarado venerável.

O seu processo de canonização, necessário para que seja declarado santo, continua aberto. Nada que impeça milhares de devotos de visitar o seu jazigo, no Cemitério de Benfica, e o quarto onde morreu, que se encontra na actual sede do CDS-PP, no largo do Caldas.

Amanhã cumpre-se mais um aniversário da sua morte. Tal como todos os anos por esta data, celebrar-se-á missa às 9h00 na capela do Cemitério de Benfica, seguido de visita ao jazigo. Este ano, porém, o dia será marcado por outra iniciativa, o lançamento, numa parceria entre os CTT e a sua Causa de Canonização, de um inteiro postal, dedicado aos 150 anos do nascimento do Apóstolo da Caridade. Este lançamento terá lugar às 18h00 no salão paroquial de Alcochete.

(Fonte: site Rádio Renascença)

Nota: conforme se poderá verificar na foto, fruto de uma montagem, já em 1959 os Correios de Portugal (CTT) haviam criado um carimbo especial alusivo.

fonte:Spe Deus

Difusão da Missa Tridentina no mundo

Images from the Seattle Extraordinary Form

Some images from Michael Curtis of the Seattle extraordinary form Mass with Archbishop Alex Brunett:










Photos from Recent Ordinations in Frejus-Toulon

Some further photos from the ordinations that were recently offered in the Diocese of Frejus-Toulon according to the usus antiquior have now become available.













The EWTN Friars and Knights Offer First Televised Solemn Mass

The EWTN for the Feast of the Immaculate Heart of Mary in the calendar of the usus antiquior (today is also the feast of the Queenship of the Blessed Virgin Mary in the calendar of the modern Roman liturgy) a solemn Mass in the usus antiquior was offered and televised live.


What is especially significant and wonderful about this particular televised Mass -- one of many such EWTN has aired, and one of the many solemn and dignified liturgies EWTN regularly airs in both forms of the Roman liturgy -- is that it was the first which saw all the sacred ministers and servers coming from EWTN's own: the MFVA friars and Knights of the Holy Eucharist.

Here are a few stills from the Mass.












"Ite Missa Est"

Pontifical Mass for Centenary of Mariawald Abbey

As recently mentioned, Mariawald Abbey, the German Trappist abbey which last year had received the privilege conceded by the Holy Father of a complete return to the Liturgy and the Observance in use in the Order of Cistercians of the Strict Observance (Trappists) until 1963/64, yesterday celebrated the centenary of its erection as a Trappist abbey with a Pontifical Mass sung by the abbot, Dom Josef Vollberg. Our friend Martin Bürger at EXSVLTET has photos.




Prayers at the foot of the altar (the assistant priest was Fr Franz Karl Banauch FSSP):


Sermon:


Offertory:


Elevations:



Recessional:



UPDATE

Martin now also has videos. The Gospel:


The offertory:


The preface:


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fonte:new liturgical movement

Bento XVI: sem o amor e o temor de Deus as pessoas vivem tristes e insatisfeitas.



Bento XVI visitou a igreja de São Venceslau, patrono do país, na cidade de Starà Boleslav, onde depois celebrou a Santa Missa .
Toda a homilia constituiu uma evocação do Santo Patrono da República Checa, São Venceslau, modelo sempre actual de vida cristã, seguindo fielmente Cristo e o Evangelho.

“Este grande Santo (que gostais de chamar eterno Príncipe dos Checos), convida-nos a seguir sempre e fielmente Cristo, convida-nos a ser santos. Ele próprio é modelo de santidade para todos, especialmente para quantos guiam as sortes das comunidades e dos povos”.

Embora à primeira vista a santidade possa surgir pouco atraente e importante, pois quem nega a Deus e não respeita o homem é que parece ter sucesso e vida fácil, basta reparar mais atentamente na realidade para nos darmos conta de que sem o amor e o temor de Deus as pessoas vivem tristes e insatisfeitas.

“Só quem conserva no coração o santo temor de Deus tem confiança também no homem e consagra a sua existência a construir um mundo mais justo e fraterno. Há hoje necessidade de pessoas crentes e credíveis, prontas a difundir em todos os âmbitos da sociedade aqueles princípios e ideais cristãos em que se inspira a sua acção”.

“É esta a santidade, vocação universal de todos os baptizados, que leva a realizar com fidelidade e coragem o próprio dever, olhando não ao próprio interesse egoísta, mas sim ao bem comum, e procurando em cada momento a vontade divina”.

“O valor autêntico da existência humana não se confina unicamente nos bens terrenos e nos bens passageiros, porque não são as realidades materiais a apagar a profunda sede de sentido e de felicidade existente no coração de cada pessoa. Por isto Jesus não hesita em propor aos seus discípulos a via estreita da santidade: Quem perderá a sua vida por causa de Mim, encontrá-la-á”.


Trata-se, sem dúvida, de uma linguagem difícil de aceitar e aplicar. Contudo, o testemunho dos santos dá-nos a certeza que seguir fielmente a Cristo é uma possibilidade para todos, se n’Ele pomos a nossa confiança.

“É esta a lição de vida de são Venceslau, que teve a coragem de colocar o reino dos céus acima do fascínio do poder terreno. O seu olhar nunca se destacou de Jesus Cristo, o qual sofreu por nós, deixando-nos o exemplo para que sigamos os seus passos, como escreve São Pedro na leitura há pouco proclamada”.

Bento XVI a sacerdotes: usai meios de comunicação



A Mensagem para o 44º Dia Mundial das Comunicações Sociais se dirige especialmente aos sacerdotes, neste Ano Sacerdotal e após a celebração da 12ª Assembleia Geral Ordinária do Sínodo dos Bispos.

O pontífice os convida a "considerar os novos meios como um poderoso recurso para seu ministério a serviço da Palavra e quer dirigir uma palavra de alento para enfrentar os desafios derivados da nova cultura digital".

Assim indica um comunicado do Conselho Pontifício para as Comunicações Sociais que anuncia o tema do próximo Dia Mundial das Comunicações Sociais, divulgado pela Sala de Imprensa da Santa Sé hoje, festa dos arcanjos Miguel, Gabriel e Rafael.

"Se os novos meios forem conhecidos e avaliados adequadamente, podem oferecer aos sacerdotes e a todos os agentes de pastoral uma riqueza de dados e conteúdos que antes eram de difícil acesso, e facilitam formas de colaboração e de crescimento de comunhão impensáveis no passado", explica o Conselho Pontifício.

O comunicado destaca que, "graças aos novos meios, os que pregam e dão a conhecer o Verbo da vida podem chegar, com palavras, sons e imagens - verdadeira e expressiva gramática da cultura digital - a indivíduos e a comunidades inteiras de todos os continentes".

Isso permite "criar novos espaços de conhecimento e de diálogo e chegar a propor e realizar itinerários de comunhão".

"Se forem usados sabiamente, com a ajuda de especialistas em tecnologia e cultura da comunicação, os novos meios podem converter-se, para os sacerdotes e para todos os agentes de pastoral, em um válido e eficaz instrumento de verdadeira e profunda evangelização e comunhão", indica.

E deseja: "Serão uma nova forma de evangelização, para que Cristo chegue e, diante das portas das nossas casas, diga novamente: ‘Vede que estou à porta e chamo; se alguém ouvir minha voz e abrir a porta, entrarei em sua casa, comerei com ele e ele comigo'".

O comunicado também recorda que "a principal responsabilidade do sacerdote é anunciar a Palavra de Deus feita carne, homem, história, convertendo-se, assim, em sinal dessa comunhão que Deus realiza com o homem".

A eficácia deste ministério requer, portanto, que o sacerdote viva uma relação íntima com Deus, radicada em um amor profundo e em um conhecimento vivo das Sagradas Escrituras, "testemunho" escrito da Palavra divina.

Em 2009, o Dia Mundial das Comunicações Sociais foi dedicado ao tema "Novas tecnologias, novas relações. Promover uma cultura de respeito, de diálogo, de amizade".

Em sua mensagem para aquela ocasião, o Papa convidava "todos os que empregam as novas tecnologias da comunicação, em especial os jovens, a utilizá-las de uma maneira positiva e a compreender o grande potencial desses meios para construir laços de amizade e solidariedade que possam contribuir para um mundo melhor".

O Dia Mundial das Comunicações Sociais é a única celebração mundial convocada pelo Concílio Vaticano II e é realizado em quase todos os países do mundo no domingo precedente a Pentescostes.

Sacerdote é “homem do futuro”, afirma Bento XVI


Bento XVI se dirige de forma mais pessoal a cada sacerdote



CASTEL GANDOLFO, terça-feira, 29 de setembro de 2009 (ZENIT.org).- "O sacerdote é o homem do futuro", porque "levou a sério a busca das coisas do alto": assim afirma o Papa em uma carinhosa mensagem aos sacerdotes, que foi gravada e transmitida no Encontro Sacerdotal Internacional que está sendo realizado em Ars (França).

O Papa lamenta "não poder estar presente" com eles e espera, com essa mensagem, falar "a cada um de vós da maneira mais pessoal possível".

O encontro, por ocasião do Ano Sacerdotal, convocado no 150º aniversário da morte de São João Maria Vianney, começou ontem e durará até o dia 4 de outubro, precisamente em Ars, presidido pelo cardeal Christoph Schönborn, arcebispo de Viena.

Em sua mensagem, Bento XVI fala sobre a figura do sacerdote e recorda, com palavras do Santo Cura de Ars, que "um bom pastor, um pastor segundo o coração de Deus, este é o maior tesouro que Deus pode conceder a uma paróquia".

Para o Papa, o maior desafio do sacerdote de hoje é "ser, mais que nunca, um homem de alegria e de esperança".

"Aos homens que já não podem conceber que Deus seja Amor puro, ele afirmará sempre que a vida vale a pena ser vivida e que Cristo lhe confere todo o seu sentido porque Cristo ama os homens, todos os homens."

"A religião do Cura de Ars é uma religião da alegria, não uma busca mórbida da mortificação, como às vezes se acreditou", acrescentou o Papa, citando novamente o santo: "Nossa felicidade é grande demais; não, não, nunca poderemos compreendê-la".

A Eucaristia é o futuro

O Papa quis centrar-se especialmente na importância da Eucaristia e ajudar os sacerdotes a "serem conscientes" da profundidade deste mistério.

"As frases simples, mas densas, do Santo Cura sobre a Eucaristia nos ajudam a perceber melhor a riqueza desse momento único do dia no qual vivemos um face a face vivificante para nós mesmos e para cada um dos fiéis: a felicidade que existe em celebrar a Missa só será compreendida no céu", disse.

Assim, acrescentou que "o que for feito na terra está na ordem dos meios ordenados ao Fim último. A Missa é o único ponto de união entre os meios e o Fim, porque nos permite contemplar Aquele que adoraremos na eternidade".

"Agradecendo-vos por serdes o que sois, repito-vos: nada substituirá jamais o ministério dos sacerdotes na vida da Igreja."

Pensai nas inúmeras absolvições que destes e que dareis, permitindo a um pecador que seja perdoado. Vossas mãos, vossos lábios, convertem-se, no espaço de um instante, nas mãos e nos lábios de Deus", afirmou o Papa.

Como dizia o Santo Cura: "Se a pessoa tivesse fé, veria Deus escondido no sacerdote como uma luz atrás de um vidro, como um vinho misturado com a água".

Palavras de ânimo

Bento XVI quis, antes de mais nada, animar os sacerdotes e assegurar-lhes a proximidade da Igreja, assim como seu interesse pessoal por sua situação.

Em especial, quis mostrar seu afeto "a aqueles dentre vós que têm uma carga pastoral de várias igrejas e que se desgastam sem cessar mantendo a vida sacramental em suas diferentes comunidades".

"O reconhecimento da Igreja é imenso com relação a vós! Não percais o valor, mas continuai rezando para que numerosos jovens aceitem responder ao chamado de Cristo", exortou.

Afirmou também que o sacerdote "carrega a graça em um vaso de argila", mas precisamente" a consciência desta fraqueza nos abre à intimidade de Deus, que nos dá força e alegria".

"Quanto mais o sacerdote perseverar na amizade de Deus, mais continuará a obra do Redentor na terra", concluiu.

terça-feira, 29 de setembro de 2009

Entrevista com o bispo. Albert Malcolm Ranjith Patabendige ex-Secretário da Congregação para o Culto Divino e a Disciplina dos Sacramentos


Os sinais de um tempo que muda

- Excelência, o Papa distribui recentemente a Comunhão na boca aos fiéis ajoelhados . Questionado pelo Osservatore Romano, o mestre de cerimónias pontifícias, Mons. Guido Marini disse que ele acredita que esta prática se tornará comum nas celebrações papais, recordando que "a distribuição da Comunhão na mão continua sendo sempre, desde o ponto de vista jurídico, um indulto à lei universal ... O modelo adoptado por Bento XVI tende a sublinhar a validade da regra válida para toda a Igreja. " _
-Acha que os bispos e padres deveriam fazer uma reflexão particular sobre o que o papa está fazendo em suas celebrações?
Mas há outras matérias que não pertencem ao magistério ex cathedra mas ao magistério ordinário. Mesmo quando fala neste sentido todos devem prestar a máxima consideração ; seu ensino deve ser honrado e seguido. Quando o papa faz alguns gestos, isto é importante e simbólico para a Igreja, torna-se um modelo. O mestre de cerimónias papais anterior costumava dizer que a liturgia realizada pelo Santo Padre, deveria servir de modelo para toda a Igreja.
Ora acontece que , o Santo Padre acaba de introduzir uma prática que não é um experimento, mas alguma coisa sobre a qual certamente reflectiu, rezou e consultou. Isto é algo que já se poderia encontrar em seus escritos de Cardeal quando insistia sobre a reverência devida ao Santíssimo Sacramento.
Como consequência ele fez um gesto que por outro lado é o que a Igreja tem seguido anteriormente por séculos . E é o gesto está mais em sintonia com a verdadeira atitude de reverência para com o Senhor, porque nós não estamos recebendo um pedaço de pão, mas a Cristo, sua Pessoa, o seu Corpo, o seu Sangue . Ante este este fenómeno do Eterno que entra no frágil , no fraco, no humano, deve haver uma atitude de grande fé, devoção e reverência. O que acontece quando recebemos a Eucaristia é algo incompreensível para a mente humana. O Senhor entra em nosso coração como em sua casa e nós devemos recebê-Lo como se deve.
O gesto introduzido pelo Santo Padre deve ser valorizado e meditado em seu profundo significado. Seria uma grande cegueira fechar os olhos para o que o Santo Padre está fazendo. Assim como seria insensato a recusar-se a ler o significado deste gesto. Por outro lado, repito, ele já havia explicado em seus escritos por que razão é importante e como toda a Sagrada Escritura fala de reverência para com o Senhor, tanto no Antigo Testamento, no âmbito do templo sagrado de Jerusalém, como no Novo Testamento ante a pessoa de Jesus. Quando os olhos da fé se abrem, os apóstolos, e também os outros, caiem imediatamente de joelhos diante d´Ele. Além disso existe uma longa tradição neste sentido, na Igreja, a partir dos Padres da Igreja para a frente.
O mesmo se pode dizer no que diz respeito à Comunhão na boca. Por isso, estamos num momento em que devemos exercer o nosso discernimento para rezar e para reflectir e, se algo não andou bem, aceitar com grande humildade que nos enganamos. O meu sincero desejo é que toda a Igreja, como disse Mons. leia este gesto e o adopte para si mesma.

Motivi del culto di San Michele


Motivi del culto di San Michele Stampa E-mail
Mercoledì 30 Settembre 2009 00:00

Motivi del culto di San MicheleNon solamente la Chiesa invita i fedeli ad essere devoti a San Michele, ma lo guarda come suo potente protettore, e lo invoca sovente nelle sue preghiere. Ha anche stabilito due feste solenni in suo onore: l'8 maggio ed il 29 settembre di ogni anno. Depositaria delle rivelazioni divine, essa sa che questo glorioso principe delle milizie celesti presiede, grazie a Dio, ai destini dei popoli cristiani, e che il suo celeste intervento è una fonte inesauribile di grazie nell'ordine fisico, morale e spirituale. Così essa raccomanda con insistenza la devozione a San Michele, il più capace di sterminare quelle sette maledette, figlie di Satana, che corrompono il mondo con le loro sovversive dottrine, la loro empia propaganda, la loro nefasta influenza sugli spiriti ed i cuori. Ascoltiamo i santi parlarci di questa devozione: "Lo zelo della nostra devozione a San Michele, dice San Dionigi, è come la misura della nostra personale ...

... santificazione e per la santificazione delle anime. - negligere questa devozione, aggiunge San Bernardo, è esporsi inevitabilmente alla dannazione eterna; praticarla è, al contrario, assicurarsi la salvezza e la suprema felicità".

San Liguori (Sant'Alfonso ndr. ) spiega così la sua stupefacente e così consolante parola: La devozione a San Michele è un segno di predestinazione. "La ragione è, egli dice, che San Michele, amando molto la salute dei suoi pii servitori, non soffrirà che un'anima che conserva verso di lui una particolare devozione, cada nella disgrazia di Dio; egli otterrà la forza di resistere agli attacchi dell'inferno. Se disgraziatamente quest'anima è caduta in passato in qualche grave colpa, dal momento in cui ella si raccomanda a questo potente protettore, egli le otterrà facilmente la grazia del perdono e della perseveranza; poiché la Chiesa attesta che, quando si onora San Michele, si partecipa ai suoi benefici ed alle preghiere che egli non cessa di rivolgere per quelli che lo servono, al fine di poter guidarle nel regno dei cieli: Cujus honor proestat beneficia populorum, et oratio perducit ad regna coelorum. Si notino queste parole: Cujus ... oratio perducit ad regna coelorum; esse significano che quando San Michele raccomanda un'anima a Dio, le ottiene la salvezza eterna. Così, San Lorenzo Giustiniani esorta tutti gli uomini a cercare di procurarsi la protezione di questo potente arcangelo, con delle preghiere ed altri pii omaggi, affinché egli le soccorra in tutti i bisogni dell'anima; poiché egli non può disdegnare le preghiere che gli si rivolgono, né stancarsi di proteggere quelli che confidano nella sua intercessione e che lo amano.

Se è salutare in ogni tempo pregare San Michele, non è necessario, nell'ora presente, ricorrere alla sua potente intercessione, chiedere a questo glorioso vincitore di Lucifero, a questo porta-stendardo di Cristo, di difendere la Chiesa e noi stessi nella lotta terribile, accanita, dei nemici di Dio contro la religione e le nostre anime? Tocca a colui che ha precipitato nell'inferno Satana e gli spiriti ribelli, ottenerci la vittoria in questo nuovo combattimento. "Quando lo spirito di inconseguenza, soffiato da Satana, ha detto un grande vescovo, si diffonde nel mondo piantandovi le radici dell'empietà e del vizio che generano tutti i mali, non vi è, per così dire, che una sola forza da opporvi: la devozione a San Michele, devozione risalente all'origine dei tempi e che produce gli effetti più meravigliosi sull'ateismo, sotto qualsiasi forma essa si presenti". Mons. Mermillod esprime lo stesso pensiero. "Nel momento, egli dice, in cui le società traballano, poiché hanno disconosciuto i diritti di Dio, occorre ricordare la devozione all'arcangelo che ha gettato il grido di vittoria: "Quis ut Deus? Chi è simile a Dio?".

Era anche l'opinione di San Francesco di Sales, di Pio IX e di molti altri pontefici, come lo è ancora oggi dell'illustre e chiaroveggente Leone XIII, Sua Santità il Papa. Secondo essi, il culto di San Michele è il grande rimedio contro il disprezzo dei diritti divini, contro la ribellione, contro lo scetticismo, il materialismo e la negazione assoluta di Dio. Ricorriamo dunque a San Michele; prendiamo la pia abitudine di invocarlo spesso; preghiamolo, nelle nostre debolezze, nelle nostre tentazioni, di difenderci contro la malizia dei nostri nemici, di svelare i loro tranelli, i loro artefici; di renderci insensibili alle loro seduzioni e sordi alle loro perfide insinuazioni; reclamiamo soprattutto la sua assistenza per quel terribile momento in cui la vita non ci apparirà più che come un sogno vicino al finire, in cui tutte le speranze della terra svaniranno per noi, in cui tutte le illusioni si dissiperanno ai primi raggi del grande giorno dell'eternità, giungendo alla nostra anima tremante in mezzo alle angosce dell'agonia e degli spaventi della morte. Che San Michele ed il nostra Santo Angelo Custode ci fortifichino, ci rassicurino allora coprendoci con le loro ali, e che conducano la nostra anima a Dio! Per meritare questa grazia, questa insigne protezione del glorioso arcangelo, ridiciamo oggi, nella sincerità del nostro cuore, quella bella parola del cardinale Pio: Accetto con gioia il dovere di invocare San Michele più fedelmente ogni giorno, come protettore della Chiesa e della nostra nazione, come avvocato dell'anima mia presso il sovrano giudice!

Tratto da "L'Angelo Custode", Luglio 1895, pp. 75-78


fonte:pontifex.roma

Hoje Festa de S.Miguel Arcanjo: Devocioário popular em honra de S.Miguel Arcanjo


Glorioso S.Miguel Arcanjo , neste dia da Vossa Festa ,queremos consagrar-Vos o nosso Blog Missa Tridentina em Portugal e também todos os amigos que nos visitam, afim de que ajudados pela Vossa Santa proteção possamos vencer todas as insídias do Inimigo e trabalhar para Glória de Deus e de sua Mãe Maria Santíssima a quem também estamos consagrados.Ámen.

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S. Miguel Arcanjo





Novena em honra a São Miguel









Quarentena


Inicio da Quaresma: 15 de agosto a 29 de setembro (Festa de São Miguel) Providenciar um altar para São Miguel com uma imagem ou uma estampa e também de São Padre Pio.

Todos os dias:


* Acender uma Vela ( abençoada )
* Oferecer uma penitência
* Fazer o sinal da cruz
* Rezar a oração inicial

* Rezar a ladainha de São Miguel

* Ladainha do Preciosismo Sangue


ORAÇÃO INICIAL

"São Miguel Arcanjo, defendei-nos no combate, sede o nosso refúgio contra as maldades e ciladas do demônio. Ordene-lhe Deus, instantemente o pedimos, e vós, príncipe da milícia celeste, pela virtude divina, precipitai no inferno a satanás e aos outros espíritos malignos, que andam pelo mundo para perder as almas. Amém".


Sacratíssimo coração de Jesus ( três vezes )


Ladainha do Preciosismo Sangue


Senhor, tende piedade de nós.
Jesus Cristo, tende piedade de nós.
Senhor, tende piedade de nós.

Jesus Cristo, ouvi-nos.
Jesus Cristo, atendei-nos.

Pai Celeste, que sois Deus, tende piedade de nós.
Filho, Redentor do Mundo, que sois Deus, tende piedade de nós.
Espírito Santo, que sois Deus, tende piedade de nós.
Trindade Santa, que sois um único Deus, tende piedade de nós.

Santa Maria, Rainha dos Anjos, rogai por nós.

São Miguel, rogai por nós.
São Miguel, cheio da graça de Deus, rogai por nós.
São Miguel, perfeito adorador do Verbo Divino, rogai por nós.
São Miguel, coroado de honra e de glória, rogai por nós.
São Miguel, poderosíssimo Príncipe dos exércitos do Senhor, rogai por nós.
São Miguel, porta-estandarte da Santíssima Trindade, rogai por nós.
São Miguel, guardião do Paraíso, rogai por nós.
São Miguel, guia e consolador do povo israelita, rogai por nós.
São Miguel, esplendor e fortaleza da Igreja militante, rogai por nós.
São Miguel, honra e alegria da Igreja triunfante, rogai por nós.
São Miguel, Luz dos Anjos, rogai por nós.
São Miguel, baluarte dos Cristãos, rogai por nós.
São Miguel, força daqueles que combatem pelo estandarte da Cruz, rogai por nós.
São Miguel, luz e confiança das almas no último momento da vida, rogai por nós.
São Miguel, socorro muito certo, rogai por nós.
São Miguel, nosso auxílio em todas as adversidades, rogai por nós.
São Miguel, arauto da sentença eterna, rogai por nós.
São Miguel, consolador das almas que estão no Purgatório, rogai por nós.
São Miguel, a quem o Senhor incumbiu de receber as almas que estão no Purgatório, rogai por nós.
São Miguel, nosso Príncipe, rogai por nós.
São Miguel, nosso Advogado, rogai por nós.

Cordeiro de Deus, que tirais o pecado do mundo, perdoai-nos, Senhor.
Cordeiro de Deus, que tirais o pecado do mundo, atendei-nos, Senhor.
Cordeiro de Deus, que tirais o pecado do mundo, tende piedade de nós.

Rogai por nós, ó glorioso São Miguel, Príncipe da Igreja de Cristo,
para que sejamos dignos de Suas promessas. Amém.

Oração

Senhor Jesus, santificai-nos, por uma bênção sempre nova, e concedei-nos, pela intercessão de São Miguel, esta sabedoria que nos ensina a ajuntar riquezas do Céu e a trocar os bens do tempo pelos da eternidade. Vós que viveis e reinais em todos os séculos dos séculos. Amém.

Ladainha

Coroa Angélica




Oração pelas vocações

Pequeno exorcismo - S. S. Papa Leão XIII


Pequena Novena

Consagração e o seu propósito



Orações



S.S.Papa João Paulo II


Alocução do dia 24 de maio de 1987 no Santuário de São Miguel Arcanjo e publicada no L’osservatore Romano, ed. Port. no dia 31 de maio 1987.

Caríssimos irmãos e irmãos:

1. Estou feliz de me encontrar no meio de vós à sombra deste santuário de São Miguel Arcanjo, que há quinze séculos é meta de peregrinações e ponto de referência para quantos procuram a Deus e desejam pôr-se no seguimento de Cristo, por meio de quem “foram criadas todas as coisas nos céus e na terra, as visíveis e as invisíveis, os Tronos, as Dominações, os Principados e as Potestades”(Cl 1,16).

Saúdo cordialmente todos vós, peregrinos, aqui vindos das cidades que circundam este magnífico promontório do Gargano, que oferece ao olhar do visitante enlevos deliciosos com a sua paisagem suave, florida, e com característicos grupos de oliveiras que se debruçam sobre a rocha. Saúdo em particular as autoridades civis e religiosas, que contribuíram para tornar possível este encontro pastoral; saúdo o Arcebispo de Manfredônia, Mons. Valentino Vailati, a quem se dirige o meu agradecimento, pelas palavras com que se dignou introduzir esta manifestação de fé. Saúdo também e sobretudo os Padres Beneditinos da Abadia de Montevergine, que têm cuidado especial deste Santuário. A eles, e de modo especial ao seu Abade, Dom Tommaso Agostino Gubitosa, exprimo a minha gratidão pela animação cristã e pelo clima espiritual que por eles são assegurados a quantos aqui vêm para retemperar o seu espírito nas fontes da fé.

2. A este lugar, como já fizeram no passado tantos predecessores meus na Cátedra de São Pedro, vim também eu gozar um instante da atmosfera própria deste Santuário, feita de silêncio, de oração e de penitência; vim para venerar e invocar o Arcanjo São Miguel, para que proteja e defenda a santa Igreja, num autêntico testemunho cristão, sem compromissos e sem acomodamentos.
Desde quando o Papa Gelásio I concedeu, em 493, o seu assentimento à dedicação da grutas das aparições do arcanjo São Miguel a lugar de culto e aqui realizou a sua primeira visita, concedendo a indulgência do “Perdão angélico”, uma série de Romanos Pontífices seguiu os seus passos para venerar este lugar sagrado. Entre eles recordam-se Agapito I, Leão IX, Urbano II, Inocêncio II, Celestino III, Urbano VI, Gregório IX, São Pedro Celestino e Bento XV. Também numerosos Santos aqui vieram para haurir força e conforto. Recordo São Bernardo, São Guilherme de Vercelli, fundador da Abadia de Montevergine, São Tomás de Aquino, Santa Catarina de Sena; entre estas visitas, permaneceu justamente célebre e ainda hoje continua viva a que foi realizada por São Francisco de Assis, que veio aqui para preparar para a Quaresma de 1221. A tradição diz que ele, considerando-se indigno de entrar na gruta sagrada, se teria detido na entrada, gravando um sinal da cruz numa pedra.

Esta viva e jamais interrompida freqüência de peregrinos ilustres e humildes, que desde a alta idade Média até os nossos dias fez deste Santuário um lugar de encontro, de oração e de reafirmação da fé cristã, diz quanto a figura do Arcanjo Miguel, que é protagonista em tantas páginas do Antigo e do Novo Testamento, é sentida e invocada pelo povo, e que é apresentado na Bíblia como o grande lutador contra o Dragão, o chefe dos Demônios. Lemos no Apocalipse: “Travou-se, então, uma batalha no Céu: Miguel e os seus Anjos pelejavam contra o Dragão e este pelejava também juntamente com seus anjos. Mas não prevaleceram e não houve mais lugar no Céu para eles. O grande Dragão foi precipitado, a antiga serpente, o Diabo, ou Satanás, como lhe chamou, sedutor do mundo inteiro, foi precipitado na terra, juntamente com seus anjos” (Ap 12, 7-9). O autor sagrado apresenta-nos nesta dramática descrição o fato da queda do primeiro Anjo, que foi seduzido pela ambição de se tornar “como Deus”. Daqui a reação do Arcanjo Miguel, cujo nome hebraico “Quem como Deus?” reivindica a unicidade de Deus e a sua inviolabilidade.

3 . Por mais fragmentárias que sejam as notícias da Revelação sobre a personalidade e o papel de São Miguel são muitos eloqüentes. Ele é o Arcanjo(cf. Jd 1,9) que reivindica os direitos inalienáveis de Deus. É um dos príncipes do Céu posto como guarda do Povo Eleito(cf. Dn 12,1), de onde virá o Salvador. Ora, o novo povo de Deus é a Igreja. Eis a razão pela qual ela o considera como próprio protetor e defensor em todas as suas lutas pela defesa e a difusão do reino de Deus na terra. É verdade que “as portas do inferno nada poderão contra ela”, segundo a afirmação do senhor(Mt 16,18), mas isto não significa que estamos isentos das provas e das batalhas contra as insídias do maligno. Nesta luta o Arcanjo Miguel está ao lado da Igreja para a defender contra as iniqüidades do século, para ajudar os crentes a resistir ao Demônio que “anda ao redor, como um leão que ruge, buscando a quem devorar”(I Pd 5,8).

Esta luta contra o Demônio, a qual caracteriza a figura do Arcanjo Miguel, é atual também hoje, porque o demônio está vivo e operante no mundo. Com efeito, o mal que nele existe, a desordem que se verifica na sociedade, a incoerência do homem, a ruptura interior da qual é vitima não são apenas conseqüências do pecado original, mas também efeito da ação nefanda e obscura de satanás, deste insidiador do equilíbrio moral do homem, ao qual São Paulo não hesita em chamar “o deus deste mundo”(2Cor 4,4), enquanto se manifesta como encantador astuto, que sabe insinuar-se no jogo do nosso agir, para aí introduzir desvios tão nocivos, quanto às aparências conformes às nossas aspirações instintivas. Por isto o Apóstolo das Gentes põe os cristãos de sobreaviso, quanto às insídias do Demônio e dos seus inúmeros sectários, quando exorta os habitantes de Éfeso a revestirem-se “da armadura de Deus para que possam resistir às ciladas do Demônio. Porque nós não temos de lutar contra a carne e o sangue, mas contra os Principados, contra os Dominadores deste mundo tenebroso, contra os Espíritos malignos espalhados pelos ares”(Ef 6,11-12).

A esta luta nos chama a figura do Arcanjo São Miguel, a quem a Igreja, tanto no Oriente como no Ocidente, jamais cessou de tributar culto especial. Como se sabe, o primeiro Santuário a ele dedicado surgiu em Constantinopla por obra de Constantino: é o célebre Michaelion, ao qual se seguiram naquela nova Capital do Império outras numerosas igrejas dedicadas ao Arcanjo. No ocidente o culto de São Miguel, desde o século V, difundiu-se em muitas cidades como Roma, Milão, Piacenza, Gênova, Veneza; entre tantos lugares de culto, certamente o mais famoso é este do monte Garagano, o Arcanjo está representado sobre a porta de bronze, fundada em Constantinopla em 1076, no ato de abater o Dragão infernal. É este o símbolo, com o qual a arte no-lo representa e a liturgia faz que o invoquemos. Todos recordam a oração que há anos se recitava no final da Santa Missa: “Sancte Michael Archangele, defende nos in proelio”; dentro em pouco, repeti-la-ei em nome da Igreja toda.

E antes de elevar tal oração, a todos vós aqui presentes, aos vossos familiares e a todas as pessoas que vos são queridas concedo a minha Benção, que faço extensiva também a quantos sofrem no corpo e no espírito.”

Oração

São Miguel, anjo da paz, pacificai a nossa alma de tudo o que a atormenta. Daí a paz à nossa Pátria. Daí a paz ao mundo. Amém.

S.S.Papa Leão XIII




No dia 29 de setembro de 1891 o grande pontífice Leão XIII fez publicar a oração que finalizou o capítulo anterior. Oração chamada por muitos de “Pequeno Exorcismo de Leão XIII”. Este Vigário de Roma não só a publicou como mandou que obrigatoriamente os sacerdotes a rezassem no encerramento de todas as Missas.

O tempo passou, vieram as reformas litúrgicas e esta oração já não se torna mais obrigatória no final das Celebrações. Lamentavelmente!!!!

Porém, o Espírito Santo tem colocado esta oração nos lábios e no coração de milhões de fiéis e de muitos sacerdotes que diariamente rezam-na com todo fervor. E isto tem acontecido porque juntos, como corpo que somos da Igreja, precisamos invocar o Príncipe da Milícia Celeste para que ele lance no abismo as forças do mal que ainda atuam no mundo com o único objetivo de perder as almas.

Afinal, porque Leão XIII publicou esta oração e ordenou que ela fosse rezada?

O motivo foi uma revelação divina.

Sua Santidade estava fazendo sua ação de graças na Missa, quando viu a terra ser invadida por enormes nuvens sombrias de espíritos infernais. Durante a visão ouviu uma discórdia entre Jesus e satanás, este exigia um pouco mais de tempo para destruir a Igreja ao que o Senhor respondeu: “Terás o tempo que pedes depois faremos as contas”.


Leão XIII, iluminado por Deus intuiu que a vitória desta discórdia estava entregue a São Miguel e que seria ele quem precipitaria o Príncipe das trevas, com todos os que o servem, no mais profundo abismo.

Este fato já foi muito comentado na Igreja e mesmo na imprensa secular. Durante algum tempo caiu no esquecimento. Mas graças a Deus este relato e a oração composta pelo Pontífice vêm sendo resgatado no coração do povo de Deus.

É preciso que a rezemos diariamente e em várias ocasiões!

A visão é muito clara: nuvem de demônios invadindo a terra. E contra eles o Senhor quer que invoquemos o Arcanjo São Miguel.

Reze esta oração!

Chame seu esposo ou esposa e, mesmo na cama, rezem o pequeno exorcismo de Leão XIII.

Convide seus filhos ou seus irmãos e ore com eles.

E se não houver ninguém, encha o coração de fé; confiando na vitória de Deus, acreditando que São Miguel está com você sinta-se como soldado da milícia celeste e reze com fervor:

“São Miguel Arcanjo defendei-nos no combate, sede nosso refúgio contra a maldade e as ciladas do demônio!

Ordene-lhe Deus, instantemente o pedimos; e vós príncipe da milícia celeste, pelo poder divino, precipitai no inferno a satanás e a todos os espíritos malignos que andam pelo mundo para perder as almas. Amém.”

O pensamento da Igreja





Os anjos Custódios das Nações





Várias aparições através dos tempos









A devoção

Quem é São Miguel?

Esse livro comprei em uma feira de livros usados em 1998. Não tem o nome do autor, porque venderam separados os livrinhos dos 3 Arcanjos.

Ao clicar na foto, é possível ler!







fonte:http://saomiguelarcanjoquemcomodeus.blogspot.com/