LE TRÉSOR DE LA MESSE par saint Léonard de Port-Maurice
1 - Le sacrifice
de la Messe est le même que Celui du Calvaire.
Le premier et principal caractère d’excellence de la sainte
Messe, c’est que nous devons la considérer comme étant essentiellement et
absolument le même Sacrifice que celui qui fut offert au Calvaire. Une seule
différence se présente: sur la croix il fut sanglant et il n’eut lieu qu’une
seule fois, et cette seule fois il eut assez de vertu pour expier pleinement
toutes les iniquités de l’univers: sur l’autel, il n’y a point de sang répandu;
de plus, le Sacrifice se renouvelle à l’infini, et son objet direct est
d’appliquer à chacun en particulier, la rédemption générale acquise par Jésus
dans sa douloureuse immolation.
Le Sacrifice sanglant a été le principe de notre rançon, le
Sacrifice non sanglant nous met en possession de cette rançon; le premier nous
ouvre le trésor des mérites de Notre-Seigneur, l’autre nous en assure l’usage.
Remarquons-le attentivement, du reste: la sainte Messe
n’est point une simple représentation, un simple mémorial de la passion et de la
mort du Sauveur: c’est une reproduction réelle et certaine de ce qui s’est
accompli sur la croix: en sorte qu’on peut dire, en toute vérité, que dans
chaque Messe notre Rédempteur subit de nouveau pour nous la mort, d’une manière
mystique, sans mourir en réalité. Il vit tout à la fois et il est immolé. "J’ai
vu, dit saint Jean, l’Agneau qui était comme égorgé." lire...

inundado por um mistério de luz que é Deus e N´Ele vi e ouvi -A ponta da lança como chama que se desprende, toca o eixo da terra, – Ela estremece: montanhas, cidades, vilas e aldeias com os seus moradores são sepultados. - O mar, os rios e as nuvens saem dos seus limites, transbordam, inundam e arrastam consigo num redemoinho, moradias e gente em número que não se pode contar , é a purificação do mundo pelo pecado em que se mergulha. - O ódio, a ambição provocam a guerra destruidora! - Depois senti no palpitar acelerado do coração e no meu espírito o eco duma voz suave que dizia: – No tempo, uma só Fé, um só Batismo, uma só Igreja, Santa, Católica, Apostólica: - Na eternidade, o Céu!