sábado, 27 de agosto de 2011

# Le serment anti-moderniste : Sacrorum antistitum !... # A GRANDEZA DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA I. É Jesu... # San Pio X : El nombre de Pío X se vincula generalm... # Cardinal Dario Castrillon Hoyos: Pope Benedict XVI... # LA REFORMA LITÚRGICA DEL VATICANO II : EN LOS ABUS... # Sul concilio Vaticano II l'incontro degli ex allie...


Le serment anti-moderniste : Sacrorum antistitum ! Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc.

 

   « Les modernistes sont  les pires ennemis de l’Église,

et le modernisme  l’égout collecteur de toutes les hérésies. »
(S. Pie X, Motu proprio Praestantia, 1907).

   Le 1er septembre 1910, il y juste un siècle, paraissait le motu proprio Sacrorum antistitum du pape saint Pie X sur les mesures pratiques contre le modernisme. Le 8 août de la même année était publié le décret Quam singulari sur l’âge de la première communion, suivi le 25 août de la lettre Notre charge apostolique condamnant les erreurs du Sillon. Un triple centenaire donc. 
   Sacrorum antistitum reprenait les points principaux de l’encyclique Pascendi en s’opposant notamment à l’immanentisme et aux idées religieuses de Spinoza. Il fut durement critiqué par les libéraux jusqu’à sa suppression par Paul VI à l’époque du concile Vatican II. La crise moderniste commence en fait au milieu du XIXe siècle, alors que le Syllabus et l’essai de Darwin ont reconfiguré l’ensemble de l’intelligentsia européenne. Elle se prolonge jusqu’au milieu du XXe siècle et affecte durablement cinq pays d’Europe occidentale : l’Allemagne, l’Angleterre, la Belgique, la France et l’Italie tandis que le Canada francophone connaît à cet égard un sort spécifique.
  N’oublions pas que la lutte contre le modernisme a été le grand combat du XXe siècle. Dans Le Paysan de la Garonne, Jacques Maritain, peu suspect d’intégrisme, écrivit pourtant que le modernisme du temps de saint Pie X fut un simple rhume des foins au regard des dévastations de l’après-Concile… Corollaire politique de cette condamnation pontificale, la Lettre sur le Sillon soulignait que la véritable civilisation ne peut exister sans la vraie religion. Son actualité est frappante alors que la France entre de plus en plus dans la barbarie.
Voici le texte du serment anti-moderniste contenu dans le Motu proprio Sacrorum antistitum, promulgué le 1er septembre 1910 par le pape Saint Pie X, que devait prononcer tout clerc lors de son ordination ou encore avant d’accéder à une chaire d’enseignement ou à un office ecclésiastique, et qu’il serait indispensable de rétablir aujourd’hui.

Moi, N…, j’embrasse et reçois fermement toutes et chacune des vérités qui ont été définies, affirmées et déclarées par le magistère infaillible de l’Eglise, principalement les chapitres de doctrine qui sont directement opposés aux erreurs de ce temps.
Et d’abord, je professe que Dieu, principe et fin de toutes choses, peut être certainement connu, et par conséquent aussi, démontré à la lumière naturelle de la raison « par ce qui a été fait » Rm 1,20 , c’est-à-dire par les œuvres visibles de la création, comme la cause par les effets.
Deuxièmement, j’admets et je reconnais les preuves extérieures de la Révélation, c’est-à-dire les faits divins, particulièrement les miracles et les prophéties comme des signes très certains de l’origine divine de la religion chrétienne et je tiens qu’ils sont tout à fait adaptés à l’intelligence de tous les temps et de tous les hommes, même ceux d’aujourd’hui.
Troisièmement, je crois aussi fermement que l’Eglise, gardienne et maîtresse de la Parole révélée, a été instituée immédiatement et directement par le Christ en personne, vrai et historique, lorsqu’il vivait parmi nous, et qu’elle a été bâtie sur Pierre, chef de la hiérarchie apostolique, et sur ses successeurs pour les siècles.
Quatrièmement, je reçois sincèrement la doctrine de la foi transmise des apôtres jusqu’à nous toujours dans le même sens et dans la même interprétation par les pères orthodoxes ; pour cette raison, je rejette absolument l’invention hérétique de l’évolution des dogmes, qui passeraient d’un sens à l’autre, différent de celui que l’Eglise a d’abord professé. Je condamne également toute erreur qui substitue au dépôt divin révélé, confié à l’Epouse du Christ, pour qu’elle garde fidèlement, une invention philosophique ou une création de la conscience humaine, formée peu à peu par l’effort humain et qu’un progrès indéfini perfectionnerait à l’avenir.
Cinquièmement, je tiens très certainement et professe sincèrement que la foi n’est pas un sentiment religieux aveugle qui émerge des ténèbres du subconscient sous la pression du cœur et l’inclination de la volonté moralement informée, mais qu’elle est un véritable assentiment de l’intelligence à la vérité reçue du dehors, de l’écoute, par lequel nous croyons vrai, à cause de l’autorité de Dieu souverainement véridique, ce qui a été dit, attesté et révélé par le Dieu personnel, notre Créateur et notre Seigneur.
[...]
Enfin, je garde très fermement et je garderai jusqu’à mon dernier soupir la foi des Pères sur le charisme certain de la vérité qui est, qui a été et qui sera toujours « dans la succession de l’épiscopat depuis les apôtres », non pas pour qu’on tienne ce qu’il semble meilleur et plus adapté à la culture de chaque âge de pouvoir tenir, mais pour que « jamais on ne croie autre chose, ni qu’on ne comprenne autrement la vérité absolue et immuable prêchée depuis le commencement par les apôtres.
Toutes ces choses, je promets de les observer fidèlement, entièrement et sincèrement, et de les garder inviolablement, sans jamais m’en écarter ni en enseignant ni de quelque manière que ce soit dans ma parole et dans mes écrits. J’en fais le serment ; je le jure. Qu’ainsi Dieu me soit en aide et ces saints Evangiles.

Lire pour un développement plus complet du sujet :

LE SERMENT ANTIMODERNISTE DE SAINT PIE X

par Zacharias
OU LE VENIN SPÉCULATIF DE L’HÉRÉSIE MODERNE
FACE A LA DOCTRINE SACRÉE DE L’ÉGLISE

A GRANDEZA DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA I. É Jesus Cristo a vítima oferecida na Santa Missa II. Na Santa Missa é Jesus Cristo o oferente principal III. A Santa Missa é uma representação e renovação do sacrifício da cruz IV. A Santa Missa é o maior presente de Deus OS QUATRO FINS DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA : I. A Santa Missa é um sacrifício latrêutico II. A Santa Missa é um sacrifício propiciatório III. A Santa Missa é um sacrifício eucarístico IV. A Santa Missa é um sacrifício impetratório

O SACRIFÍCIO DA SANTA MISSA : O Concílio de Trento (Sess. 22) diz da Santa Missa: “Devemos reconhecer que nenhum outro ato pode ser praticado pelos fiéis que seja tão santo como a celebração deste imenso mistério”. O próprio Deus todo-poderoso não pode fazer que exista uma acção mais sublime e santa do que o santo sacrifício da Missa. Este sacrifício de nossos altares sobrepassa imensamente todos os sacrifícios do Antigo Testamento, pois não são mais bois e cordeiros que são sacrificados, mas é o próprio Filho de Deus que se oferece em sacrifício.



Baseado na doutrina de Santo Afonso Maria de Ligório, doutor da Igreja, o autor, também ele já clássico, nos oferece uma exposição bastante clara e objetiva do que é a Santa Missa e das suas quatro finalidades: na Missa, os fiéis louvam a Deus, agradecem-lhe, pedem-lhe perdão pelos seu pecados e também as graças de que necessitam.

 
A GRANDEZA DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA

I. É Jesus Cristo a vítima oferecida na Santa Missa
O Concílio de Trento (Sess. 22) diz da Santa Missa: “Devemos reconhecer que nenhum outro ato pode ser praticado pelos fiéis que seja tão santo como a celebração deste imenso mistério”. O próprio Deus todo-poderoso não pode fazer que exista uma acção mais sublime e santa do que o santo sacrifício da Missa. Este sacrifício de nossos altares sobrepassa imensamente todos os sacrifícios do Antigo Testamento, pois não são mais bois e cordeiros que são sacrificados, mas é o próprio Filho de Deus que se oferece em sacrifício. “O judeu tinha o animal para o sacrifício, o cristão tem Cristo”, escreve o venerável Pedro de Clugny; “seu sacrifício é, pois, tanto mais precioso, quanto mais acima de todos os sacrifícios dos judeus está Jesus Cristo”. E acrescenta que, “para os servos (isto é, para os judeus, no Antigo Testamento), não convinham outros animais senão aqueles que eram destinados ao serviço do homem; para os amigos e filhos foi Jesus Cristo reservado como cordeiro que nos livra do pecado e da morte eterna” (Ep. cont. Petrobr.). Tem, portanto, razão São Lourenço Justiniano, dizendo que não há sacrifício maior, mais portentoso e mais agradável a Deus do que o santo sacrifício da Missa (cfr. Sermo de Euch.).
S. João Crisóstomo diz que durante a Santa Missa o altar está circundado de anjos que aí se reúnem para adorar a Jesus Cristo que, nesse sacrifício sublime, é oferecido ao Pai celeste (De sac., 1, 6). Que cristão poderá duvidar, escreve S. Gregório (Dial. 4, c. 58), que os céus se abram à voz do sacerdote, durante esse Santo Sacrifício, e que coros de anjos assistam a esse sublime mistério de Jesus Cristo. S. Agostinho chega até a dizer que os anjos se colocam ao lado do sacerdote para servi-lo como ajudantes.

II. Na Santa Missa é Jesus Cristo o oferente principal
O Concílio de Trento (Sess. 22, c. 2) ensina-nos também que neste sacrifício do Corpo e Sangue de Jesus Cristo é o próprio Salvador que oferece em primeiro lugar esse sacrifício, mas que o faz pelas mãos do sacerdote que escolheu para seu ministro e representante. Já antes dissera São Cipriano: “O sacerdote exerce realmente o ofício de Jesus Cristo” (Ep. 62). Por isso o sacerdote diz, na elevação: Isto é o meu corpo; este é o cálice de meu sangue.
Belarmino (De Euch., 1. 6, c. 4) escreve que o santo sacrifício da missa é oferecido por Jesus Cristo, pela Igreja e pelo sacerdote; não, porém, do mesmo modo por todos: Jesus Cristo oferece como o sacerdote principal, ou como o oferente próprio, contudo, por intermédio de um homem, que é, no mesmo tempo sacerdote e ministro de Cristo; a Igreja não oferece como sacerdotisa, por meio de seu ministro, mas como povo, por intermédio do sacerdote; o sacerdote, finalmente, oferece como ministro de Jesus Cristo e como medianeiro ele todo o povo.
Jesus Cristo, contudo, é sempre o sacerdote principal na Santa Missa, onde ele se oferece continuamente e sob as espécies de pão e de vinho por intermédio dos sacerdotes, seus ministros, que representam a sua Pessoa quando celebram os santos mistérios. Por isso diz o quarto Concílio de Latrão (Cap. Firmatur, de sum. Trinit.) que Jesus Cristo é ao mesmo tempo o sacerdote e o sacrifício. De fato, convém à dignidade deste sacrifício que ele não seja oferecido, em primeiro lugar, por homens pecadores, mas por um sumo sacerdote que não esteja sujeito ao pecado, mas que seja santo, inocente, imaculado, separado dos pecadores e mais elevado que os céus (Heb 7, 26).

III. A Santa Missa é uma representação e renovação do sacrifício da cruz
Segundo São Tomás (Off. Ss. Sac., I. 4), o Salvador nos deixou o Santíssimo Sacramento para conservar viva entre nós a lembrança dos bens que nos adquiriu e do amor que nos testemunhou com sua morte. Por isso o mesmo Doutor chama a Sagrada Eucaristia “um manancial perene da paixão”.
Ao assistires, pois, à Santa Missa, alma cristã, pondera que a hóstia que o sacerdote oferece é o próprio Salvador que por ti sacrificou o seu sangue e a sua vida. Entretanto, a Santa Missa não é somente uma representação do sacrifício da cruz, mas também uma renovação do mesmo, porque em ambos é o mesmo sacerdote e a mesma vítima, a saber, o Filho de Deus Humanado. Só no modo de oferecer há uma diferença: o sacrifício da cruz foi oferecido com derramamento de sangue; o sacrifício da missa é incruento; na cruz, Jesus morreu realmente; aqui, morre só misticamente (Conc. Trid., Sess. 22, c. 2).
Imagina, durante a Santa Missa, que estás no monte Calvário, para ofereceres a Deus o sangue e a vida de seu adorável Filho, e, ao receberes a Santa Comunhão, imagina beberes seu precioso sangue das chagas do Salvador. Pondera também que em cada Missa se renova a obra da Redenção, de maneira que, se Jesus Cristo não tivesse morrido na cruz, o mundo receberia, com a celebração de uma só Missa, os mesmos benefícios que a morte do Salvador lhe trouxe. Cada Missa celebrada encerra em si todos os grandes bens que a morte na cruz nos trouxe, diz São Tomás (In Jo 6, lect. 6). Pelo sacrifício do altar nos é aplicado o sacrifício da cruz. A paixão de Jesus Cristo nos habilitou à Redenção; a Santa Missa nos faz entrar na posse dela e comunica-nos os merecimentos de Jesus Cristo.

IV. A Santa Missa é o maior presente de Deus
Na Santa Missa, o próprio Jesus Cristo dá-se a nós. É uma verdade de fé que o Verbo Encarnado se obrigou a obedecer ao sacerdote, quando este pronuncia as palavras da consagração e a vir às suas mãos sob as espécies do pão e do vinho. Fica-se estupefato por Deus ter obedecido outrora a Josué e mandado ao sol que parasse, quando ele disse: Sol, não te movas de Gabaon, e tu, ó lira, do vale de Ajalon (Jos 10, 12). Entretanto, muito mais admirável é que Deus mesmo desce ao altar ou a qualquer outro lugar a que o Padre o chama com umas poucas palavras, e isso tantas vezes quantas é chamado pelo sacerdote, mesmo que este seja seu inimigo. E, tendo vindo, se põe o Senhor à inteira disposição do sacerdote; este o leva, à vontade, de um lugar para o outro, coloca-o sobre o altar, fecha-o no tabernáculo, tira-o da igreja, toma-o na Santa Comunhão, e o dá em alimento a outros. São Boaventura diz que o Senhor, em cada Missa, faz ao mundo um benefício igual àquele que lhe fez outrora pela encarnação (cfr. De inst. Novit., p. 1, c. 11). Se Jesus Cristo não tivesse vindo ao mundo, o sacerdote, pronunciando as palavras da consagração, o introduziria nele. “Ó dignidade sublime a do sacerdote”, exclama por isso Santo Agostinho (Mol. lnstr. Sach., t. 1, c. 5), “em cujas mãos o Filho de Deus se reveste de carne, como no seio da Virgem Mãe”.
Numa palavra, a Santa Missa, conforme a predição do profeta (Zac 9, 17), é a coisa mais preciosa e bela que possui a Igreja. São Boaventura (De inst. Nov., 1. c.) diz que a Santa Missa nos põe diante dos olhos todo o amor que Deus nos dedicou e que é, de certo modo, um compêndio de todos os benefícios que ele nos fez.

OS QUATRO FINS DO SANTO SACRIFÍCIO DA MISSA

I. A Santa Missa é um sacrifício latrêutico
No Antigo Testamento os homens procuravam honrar a Deus por toda a espécie de sacrifícios, no Novo Testamento, porém, presta-se maior honra a Deus com um só sacrifício da Missa do que com todos os sacrifícios do Antigo Testamento, que eram só figuras e sombras da Sagrada Eucaristia. Pela Santa Missa se presta a Deus a honra que lhe é devida, porque, por meio dela, Ele recebe a mesma honra infinita que Jesus Cristo lhe prestara sacrificando-se na cruz. Uma só Missa presta a Deus maior honra que todas as orações e penitências dos santos, todos os trabalhos dos apóstolos, todos os sofrimentos dos mártires, todo o amor dos serafins e mesmo da Mãe de Deus, porque todas as honras dos homens são de natureza finita, enquanto a honra que Deus recebe pela Missa é infinita, pois lhe é prestada por uma pessoa divina, o seu Filho.
Devemos por isso reconhecer, com o santo Concílio de Trento, que a Santa Missa é a mais santa e divina de todas as obras (Sess. 22). Nosso Senhor morreu especialmente para esse fim, para poder criar sacerdotes do Novo Testamento. Não era necessário que o Salvador morresse para remir o mundo; uma só gota do seu sangue, uma lágrima, uma só oração teria bastado para operar a salvação de todos, porque, sendo essa oração de valor infinito, seria suficiente para remir não só um mundo, mas também mil mundos. Para criar, porém, um sacerdote devia Jesus Cristo morrer, pois, do contrário, donde se tiraria esse sacrifício que agora oferecem a Deus os sacerdotes do Novo Testamento, esse santo e imaculado sacrifício que, por si só, basta para dar a Deus a honra que lhe é devida? Ainda que se sacrificasse a vida de todos os anjos e santos, mesmo assim, esse sacrifício não prestaria a Deus essa honra infinita, que lhe dá uma única Santa Missa.

II. A Santa Missa é um sacrifício propiciatório
Pode-se deduzir já da instituição da Sagrada Eucaristia que a Santa Missa é verdadeiramente um sacrifício propiciatório, ou seja, que inclina Deus a nos perdoar a pena e a culpa dos pecados, que foi feita especialmente para a remissão dos pecados: Este é o meu, sangue, que será derramado por muitos, para remissão dos pecados, disse Jesus Cristo (Mt 26, 28). A Santa Missa perdoa até os maiores pecados, não imediatamente, mas só mediatamente, como afirmam os teólogos, isto é, Deus, em consideração ao sacrifício do altar, concede a graça que leva o homem a detestar seus pecados e a purificar-se deles no sacramento da Penitência. Quanto às penas temporais, que devem ser expiadas depois da destruição da culpa, são elas perdoadas por virtude da Santa Missa, ao menos parcialmente, quando não de todo. Numa palavra, a Santa Missa abre os tesouros da divina misericórdia em favor dos pecadores.
Desgraçados de nós se não houvesse esse grande sacrifício, que impede à justiça divina de nos enviar os castigos que merecemos por nossos pecados. É certo que todos os sacrifícios do Antigo Testamento não podiam aplacar a ira de Deus contra os pecadores. Se se sacrificasse a vida de todos os homens e anjos, a justiça divina não seria satisfeita devidamente nem sequer por uma única falta que a criatura tivesse cometido contra seu Criador. Só Jesus Cristo podia satisfazer por nossos pecados: Ele é a propiciação pelos nossos pecados (1 Jo 2, 2). Por isso o Padre Eterno enviou o seu Filho ao mundo, para que se fizesse homem mortal e, pelo sacrifício de sua vida, o reconciliasse com os pecadores. Esse sacrifício é renovado em cada Missa. Não há dúvida: o sangue inocente do Redentor clama muito mais fortemente por misericórdia em nosso favor, que o sangue de Abel por vingança contra Caim.
Este sacrifício pode ser oferecido também pelos defuntos. Por isso o sacerdote, na Santa Missa, pede ao Senhor que se recorde de seus servos que partiram para a outra vida e que lhes conceda, pelos merecimentos de Jesus Cristo, o lugar de repouso, da luz e da paz. Se o amor de Deus que possuem as almas ao saírem desta vida não basta para purificá-las, essa falta será reparada pelo fogo do Purgatório; muito melhor, porém, a repara o amor de Jesus Cristo por meio do sacrifício eucarístico, que traz às almas grande alívio e, muitas vezes, até a libertação completa dos seus sofrimentos. O Concílio de Trento declara que as almas que sofrem no Purgatório podem ser muito auxiliadas pela intercessão dos fiéis, mas em especial pelo santo sacrifício da Missa. E acrescenta (Sess. 22, c. 2) que isso é uma tradição apostólica. Santo Agostinho exorta-nos a oferecer o sacrifício da Santa Missa por todos os defuntos, caso que não possa aproveitar às almas pelas quais pedimos.
III. A Santa Missa é um sacrifício eucarístico
É justo e razoável que agradeçamos a Deus pelos benefícios que nos fez em sua infinita bondade. Mas que digno agradecimento podemos dar-lhe nós, miseráveis? Se Deus nos tivesse dado uma única vez um sinal de sua afeição, estaríamos obrigados a um agradecimento infinito, porque esse sinal de amor seria o favor e dom de um Deus infinito. Mas eis que o Senhor nos deu esse meio de cumprir com nossa obrigação e de agradecer-lhe dignamente. E como? Tornando-nos possível oferecer-lhe na Santa Missa a Jesus Cristo. Dessa maneira dá-se a Deus o mais perfeito agradecimento e satisfação; pois, quando o sacerdote celebra a Santa Missa, dá-lhe um digno agradecimento por todas as graças, mesmo por aquelas que foram concedidas aos santos no céu; uma tal ação de graças, porém, não podem prestar a Deus todos os santos juntos, de maneira que também nesse respeito a dignidade sacerdotal sobrepuja todas as dignidades, não excetuadas as do céu.
Na Santa Missa, a vítima que é oferecida ao Eterno Pai é seu próprio Filho, em quem pôs toda a sua complacência. Por isso dirigia Davi suas vistas a este sacrifício, quando pensava num meio de agradecer a Nosso Senhor pelas graças recebidas: Que darei ao Senhor por tudo que ele me tem feito? pergunta ele, e responde: Tomarei o cálice da salvação e invocarei o nome do Senhor (S1 115, 12). O próprio Jesus Cristo agradeceu a seu Pai celeste todos os benefícios que tinha feito aos homens, por meio deste sacrifício: E, tomando o cálice, deu graças e disse: Tomai-o e distribuí-o entre vós (Lc 22, 17).

IV. A Santa Missa é um sacrifício impetratório
Se já temos a segura promessa de alcançar tudo que pedimos a Deus em nome de Jesus Cristo (cfr. Jo 16, 23), muito maior deve ser a nossa confiança se oferecemos a Deus seu próprio Filho. Este Salvador que nos ama roga por nós sem cessar lá no céu (cfr. Rom 8, 31), mas, de modo todo especial, durante a Santa Missa, em que se sacrifica a seu Eterno Pai, pelas mãos do sacerdote, para nos alcançar suas graças. Se soubéssemos que todos os santos e a Santíssima Virgem estão rezando por nós, com que confiança não esperaríamos de Deus os maiores favores e graças. Está, porém, fora de dúvida que um só rogo de Jesus Cristo pode infinitamente mais que todas as suplicas dos santos.
No Antigo Testamento era permitido unicamente ao sumo sacerdote, e isso uma só vez no ano, entrar no santo dos santos; hoje, porém, todos os sacerdotes podem sacrificar todos os dias ao Eterno Pai o cordeiro divino, para alcançar de Deus graças para si e para todo o povo.
O sacerdote sobe ao altar para ser o intercessor de todos os pecadores. “Ele exerce o ofício de um medianeiro”, diz São Lourenço Justiniano (Sermo de Euchar.), “e por isso deve ser um intercessor para todos que pecam”. Dessa maneira“, diz São João Crisóstomo, “está o Padre no altar, no meio, entre Deus e o homem; oferece a Deus as súplicas dos homens e alcança-lhes as graças de que precisam” (Hom. 5 in Jo.). Deus distribui as suas graças sempre que é rogado em nome de Jesus Cristo, mas as distribui com mais largueza durante a Santa Missa, atendendo às suplicas do sacerdote, diz São João Crisóstomo; pois essas súplicas são então acompanhadas e secundadas pela oração de Jesus Cristo, que é o sacerdote principal, visto que é ele mesmo que se oferece neste sacrifício para nos alcançar graças de seu Eterno Pai.
Segundo o Concílio de Trento (Sess. 22, c. 2), é especialmente durante a Santa Missa que o Senhor está sentado naquele trono de graças ao qual devemos nos chegar, diz o Apóstolo, para alcançarmos misericórdia e encontrarmos graças no momento oportuno (Heb 4, 16). Até os anjos esperam o tempo da Santa Missa, diz São João Crisóstomo (Hom 13. De incomp. Dei nat.), para pedirem com mais resultado por nós, acrescentando que dificilmente se alcançará aquilo que não se consegue durante a Santa Missa.
A Santíssima Virgem, depondo uma vez o Menino Jesus nos braços de Santa Francisca Farnese, disse-lhe: “Eis aqui o meu Filho; aprende a torná-lo favorável a ti, oferecendo-o muitas vezes a Deus. Dize, por isso, a Deus, quando vires presente no altar o divino Cordeiro: Ó Pai Eterno, ofereço-vos hoje todas as virtudes, todos os atos e todos os afetos de vosso mui amado Filho. Recebei-os por mim, e por seus merecimentos, que ele mos deu e, por isso, são meus, dai-me as graças que Jesus Cristo pedir por ruim. Ofereço-vos esses merecimentos para vos agradecer por todas as misericórdias que tendes usado comigo e para satisfazer por meus pecados. Pelos merecimentos de Jesus Cristo espero alcançar de vós todas as graças, o perdão, a perseverança, o céu, mas especialmente o mais precioso de todos os dons, o vosso puro e santo amor”.

Edward Saint-Omer
    Fonte: LIGÓRIO, Santo Afonso Maria. Escola da Perfeição Cristã. Org: Pe. Saint-Omer.

San Pio X : El nombre de Pío X se vincula generalmente y con toda razón, al movimiento que purgó a la Iglesia de ese "resumen de todas las herejías", al que alguno tuvo la ocurrencia de llamar "Modernismo". Un decreto del Santo Oficio fechado en 1907, condenó a ciertos escritores y ciertas ideas; muy pronto le siguió la carta encíclica "Pascendi dominici gregis", en la que se indicaban peligrosas tendencias de alcance imprevisible, se señalaban y condenaban las manifestaciones del modernismo en todos los campos.


http://4.bp.blogspot.com/_GK9vk5xxaSs/Sp_0aggENFI/AAAAAAAAEBo/ygjM_2CmBzY/s400/Pope+St.+Pius+X+(6).jpg
http://www.restoredtraditions.com/images/products/detail/Anon_pius_X_portrait_2.jpg




http://4.bp.blogspot.com/_Dl9RvGB6wC8/TFlo2ojqPDI/AAAAAAAAAW8/dlr6reVFARU/s1600/piox.jpg


http://chestofbooks.com/reference/The-New-Student-s-Reference-Work-Vol3/images/pp0396-1.png
Pope St. Pius X


Reseña: Nació en la aldea de Riese, situada en la región véneta, el año 1835. Primero ejerció santamente como presbítero, más tarde fue obispo de Mantua y luego patriarca de Venecia. El año 1903 fue elegido papa. Adoptó como lema de su pontificado: «Instaurare omnia in Christo», consigna por la que trabajó intensamente con sencillez de espíritu, pobreza y fortaleza, dando así un nuevo incremento a la vida de la Iglesia. Tuvo que luchar también contra los errores doctrinales que en ella se filtraban. Murió el día 20 de agosto del año 1914.

"Era uno de esos hombres elegidos, de los que hay pocos, con una personalidad irresistible. Todos tenían que sentirse conmovidos por su absoluta sencillez y su bondad angelical. Sin embargo, era algo más lo que le hacía entrar en todos los corazones; ese "algo" se puede definir mejor al observar que todo aquél que fue admitido a su presencia salió con la profunda convicción de haber estado frente a un santo. Y, entre más se sabe sobre él, mayor fuerza adquiere esta convicción".
-Baron von Pastor, historiador, sobre el Papa Pío X:

Nuestro Papa nació en 1835 con el nombre de Giuseppe (José) Sarto, hijo de un humilde cartero, en la ciudad de Riese, en el Veneto. Fue el segundo de diez hijos de la pobre familia. Asistió a la escuela elemental de Riese y, gracias a las instancias del cura párroco, pasó a la escuela superior de Castelfranco, a una distancia de ocho kilómetros, que el chico recorría a pié dos veces al día. Más tarde, en virtud de una beca que se obtuvo para él, pudo asistir al seminario de Padua. Por dispensa especial, se le ordenó sacerdote a la edad de veintitrés años y, desde aquel momento, se entregó completamente al ministerio pastoral; al cabo de dieciséis años, ascendió a canónigo en Treviso, donde prosiguió con mayor ahínco su dura y generosa tarea sacerdotal.

En 1884, fue consagrado obispo de Mántua, diócesis que se hallaba en bajas condiciones morales, debido a su clero negligente hasta el extremo de haber provocado un cisma en dos poblaciones. Fue tan limpio y brillante el triunfo que obtuvo el obispo en el desempeño de aquel cargo plagado de dificultades que, en 1892, el Papa León XIII consagró a Mons. Sarto como cardenal sacerdote de San Bernardo de los Baños y, casi inmediatamente, lo elevó a la sede metropolitana de Venecia, que comprende el título honorífico de patriarca. Ahí se transformó en un verdadero apóstol para toda la región del Veneto y puso de manifiesto el valor de su sencillez y su rectitud, en una sede que se ufanaba de su magnificencia y de su pompa.

A la muerte de León XIII, en 1903, era creencia general que habría de sucederle en la cátedra de San Pedro el cardenal Rampolla del Tíndaro; las tres primeras votaciones del cónclave indicaron que la opinión general estaba en lo cierto; pero entonces, el cardenal Puzyna, arzobispo de Cracovia, comunicó a la asamblea de electores que el emperador Francisco José de Austria imponía el veto formal contra la elección de Rampolla. El anuncio causó una profunda conmoción; los cardenales protestaron con energía por la intervención del emperador y las cosas llegaron al punto de efervescencia, cuando Rampolla, con mucha dignidad, retiró su candidatura. (Actualmente se afirma que Rampolla no habría sido elegido de ningún modo).

Al cabo de otras cuatro votaciones, resultó elegido el cardenal Giuseppe Sarto. Así llegó a la cátedra de Pedro un hombre de humilde cuna, sin relevantes dotes intelectuales, sin experiencia en las diplomacias eclesiásticas, pero con un corazón tan grande que no le cabía en el pecho, y tan bueno que parecía irradiar gracias: "un hombre de Dios que conocía los infortunios del mundo y las penurias de la existencia y, en la grandeza de su corazón, solo quería arreglarlo todo y consolar a todos".

Uno de los primeros actos del nuevo Papa fue el de recurrir a la constitución "Commissum nobis", a fin de terminar, de una vez por todas, con cualquier supuesto derecho de cualquier poder civil para interferir en una elección papal, por el veto u otro procedimiento. Más adelante, dio un paso cauteloso pero definitivo hacia la reconciliación entre la Iglesia y el Estado, en Italia, al levantar prácticamente el "Non Expedit". Su manera de hacer frente a la muy crítica situación que no tardó en presentarse en Francia fue directa y tan efectiva como cualquiera de los medios diplomáticos en uso. En 1905, luego de numerosos incidentes, el gobierno francés denunció el concordato de 1801, decretó la separación de la Iglesia y el Estado y emprendió una campaña agresiva contra la Iglesia. El gobierno propuso crear una organización para que se preocupara de las propiedades eclesiásticas, bajo el nombre de "associations cultuelles", a la que muchos de los prominentes personajes católicos de Francia deseaban someterse por vías de ensayo; pero, tras una serie de consultas con los obispos franceses, el Papa Pío X emitió un par de declaraciones enérgicas y dignas, por las que condenaba la ley de separación y calificaba la "asociación" de anticanónica. A los que se quejaban de que había sacrificado todas las posesiones de la Iglesia en Francia, les respondió: "Aquellos se preocupaban demasiado por los bienes materiales y muy poco por los espirituales". La separación ofreció la ventaja de que, a partir de entonces, la Santa Sede pudo nombrar directamente a los obispos franceses, sin la nominación previa de los poderes civiles.

El obispo de Nevers, Mons.Gauthey dijo del Papa: "Pío X,  nos emancipó de la esclavitud al costo del sacrificio de nuestras propiedades. Que Dios le bendiga por siempre, por no haber titubeado en imponernos ese sacrificio". La severa actitud del Papa causó tantos trastornos y dificultades al gobierno francés que, veinte años más tarde, se avino a concertar un nuevo acuerdo, dentro de los cánones, para la administración de las propiedades de la Iglesia.
http://3.bp.blogspot.com/_oN5K_WcO5JM/SvebNjaDerI/AAAAAAAACKk/Nff2K9dhCb0/s400/pius%2Bx%2B%2B%2B1.jpghttp://4.bp.blogspot.com/_GK9vk5xxaSs/SkG1nIxck6I/AAAAAAAADXE/tLg1B3WvwN8/s400/Pope+St.+Pius+X+(2).jpg
Contra el Modernismo

El nombre de Pío X se vincula generalmente y con toda razón, al movimiento que purgó a la Iglesia de ese "resumen de todas las herejías", al que alguno tuvo la ocurrencia de llamar "Modernismo". Un decreto del Santo Oficio fechado en 1907, condenó a ciertos escritores y ciertas ideas; muy pronto le siguió la carta encíclica "Pascendi dominici gregis", en la que se indicaban peligrosas tendencias de alcance imprevisible, se señalaban y condenaban las manifestaciones del modernismo en todos los campos. Pero también se adoptaron medidas enérgicas y, a pesar de que hubo furiosas oposiciones, el modernismo en la Iglesia fue desenmascarado. Ya había conquistado bastante terreno entre los católicos y, sin embargo, no fueron pocos quienes opinaron que la condena del Papa había sido excesiva y obscurantista.

Cinco años después, en 1910, la encíclica del Papa sobre San Carlos Borromeo fue mal interpretada y se ofendieron los protestantes en Alemania. Pío X publicó la explicación oficial del párrafo mal interpretado en el Osservatore Romano y ahí mismo recomendó a los obispos alemanes que no hiciesen más comentarios ni publicidad en torno a la encíclica, en el púlpito o en la prensa.



http://3.bp.blogspot.com/_oN5K_WcO5JM/SwQvcovuomI/AAAAAAAACUo/k3rhEJA_NN8/s1600/pope-saint-pius-x-07.jpg
Renovarlo todo en Cristo: Eucaristía y Palabra

En su primera encíclica Pío X anunciaba que su meta primordial era la de "renovarlo todo en Cristo" y, sin duda que con ese propósito en mente, redactó y aprobó sus decretos sobre el sacramento de la Eucaristía. Por ellos, recomendaba y encomiaba la comunión diaria, si fuese posible; que los niños se acercaran a recibirla al llegar a la edad de la razón, y que se facilitara el suministro de la comunión a los enfermos.  (En la Edad Media y, posteriormente en la época del jansenismo, los fieles católicos comulgaban rarísima vez. La comunión diaria o muy frecuente se consideraba como algo extraordinario y aun indebido.)

También el Papa se preocupó por la Palabra, puesto que instaba a la diaria lectura de la Biblia, aunque en este caso las recomendaciones del Papa no fueron tan ampliamente aceptadas. Desde 1903, y con el objeto de aumentar el fervor en el culto divino, emitió motu proprio una serie de instrucciones sobre la música sacra, destinadas a terminar con los abusos al respecto y a restablecer el uso del canto llano en la Iglesia. Dio alientos a los trabajos de la comisión para la codificación de las leyes canónicas y fue él quien llevó a cabo la completa reorganización de los tribunales, oficinas y congregaciones de la Santa Sede. También estableció Pío X una comisión correctora y revisora del texto Vulgata de la Biblia (este trabajo les fue encomendado a los monjes benedictinos) y, en 1909, fundó el Instituto Bíblico para el estudio de las Escrituras y lo dejó a cargo de la Compañía de Jesús.
http://1.bp.blogspot.com/_dgLANUDyyFE/TGfUgYVCLTI/AAAAAAAAAOM/uHznIP_RS_w/s1600/S%C3%A3o+Pio+X.jpghttp://www.floscarmeli.org/Immagini_Liturgia/S_Pio_X.jpg
A favor de los Pobres

Siempre consagró sus preocupaciones y actividades a los débiles y los oprimidos. Con inusitada energía, denunció los malos tratos a que eran sometidos los indígenas en las plantaciones de caucho del Perú. Creó y organizó una comisión de ayuda a los damnificados, tras el desastroso terremoto de Messina y, por cuenta propia, acogió a numerosos refugiados en el hospicio de Santa Marta, junto a San Pedro. Sus caridades, en todas las partes del mundo donde se necesitaban socorros, eran tan abundantes y frecuentes, que las gentes de Roma y de toda Italia se preguntaban de dónde saldría tanto dinero. La sencillez de sus hábitos personales y la santidad de su carácter se ponían de manifiesto en su costumbre de visitar cada domingo, alguno de los patios, rinconadas o plazuelas del Vaticano, para predicar, explicar y comentar el Evangelio de aquel día, a todo el que acudiera a escucharle. Era evidente que Pío X se sentía desconcertado y tal vez un poco escandalizado, ante la pompa y la magnificencia del ceremonial en la corte pontificia. Cuando era patriarca de Venecia, prescindió de una buena parte de la servidumbre y no toleró que nadie, fuera de sus hermanas, le preparase la comida; como Pontífice, eliminó la costumbre de conferir títulos de nobleza a sus familiares. "Por disposición de Dios, solía decir, mis hermanas son hermanas del Papa. Eso debe bastarles". En una ocasión, antes de cierta ceremonia, exclamó ante un viejo amigo suyo: "¡Mira cómo me han vestido!" y se echó a llorar. A otro de sus amigos, le confesó: "No cabe duda de que es una penitencia verse obligado a aceptar todas estas prácticas. ¡Me condujeron entre soldados, como a Jesús cuando le apresaron en Getsemaní!".

Estas anécdotas describen la grandeza de corazón y la sencillez de la bondad de Pío X. A un joven inglés, protestante convertido al catolicismo y que deseaba ser monje, pero sentía el escrúpulo de haber estudiado muy poco, le dijo el Papa: "Para alabar a Dios bien, no se necesita ser sabio". Un escritor de Mántua publicó un libro de carácter sensacionalista en el que lanzaba infames acusaciones contra Pío X; éste no quiso emprender ninguna acción legal, pero, en cuanto supo que el calumniador se hallaba en bancarrota, el Papa le envió ayuda: "Un hombre tan desdichado, comentó, necesita oraciones más que castigos".

Aún durante su vida, Dios utilizó al Papa Pío X como instrumento de sus milagros y, hasta en esos casos sobrenaturales, se puso de manifiesto su perfecta modestia y sencillez. Durante una audiencia pública, uno de los asistentes mostró su brazo paralizado al tiempo que decía: "¡Cúrame, Santo Padre!" El Papa se acercó sonriente, tocó el brazo tumefacto y dijo amablemente: "Si, sí". Y, el hombre quedó curado. En otra audiencia privada, una niña de once años que estaba paralítica, pidió lo mismo. "¡Quiera Dios concederte lo que deseas!", dijo el Pontífice. La niña se levantó y anduvo por sí misma. Una monja que sufría de una tuberculosis muy avanzada, le pidió la salud. "Sí", fue todo lo que repuso Pío X, mientras ponía las manos sobre la cabeza de la religiosa. Aquella tarde, el médico declaró que estaba completamente sana.

Primera Guerra Mundial

El 24 de junio de 1914, la Santa Sede firmó un concordato con Servia; cuatro días más tarde, el archiduque Francisco de Austria y su esposa fueron asesinados en Sarajevo; a la medianoche del 4 de agosto, Alemania, Francia, Austria, Rusia, Gran Bretaña, Servia y Bélgica estaban en guerra. Era el undécimo aniversario de la elección del Papa. Pío X no solo había vaticinado aquella guerra europea, como otros muchos, sino que profetizó que estallaría definitivamente para el verano de 1914. Aquel conflicto fue para el Papa un golpe fatal. "Esta será la última aflicción que me mande el Señor. Con gusto daría mi vida para salvar a mis pobres hijos de esta terrible calamidad". Pocos días más tarde sufrió una bronquitis; al día siguiente, 20 de agosto, murió. Fue, en verdad, víctima de la Guerra.

"Nací pobre, he vivido en la pobreza y quiero morir pobre", dijo en su testamento. Demostró la verdad de aquellas palabras: su pobreza era tanta que hasta la prensa anticlerical quedó admirada.

Después del funeral en la basílica de San Pedro, Mons. Cascioli, escribió lo siguiente: "No tengo la menor duda de que este rincón de la cripta se convertirá, muy pronto, en un santuario, un centro de peregrinación . . . Dios glorificará ante el mundo a este Papa cuya triple corona fue la pobreza, la humildad y la bondad". Y así fue por cierto. El Pontificado de Pío X no fue tranquilo y el Papa mostró resolución en su política.  Hubo muchos que le criticaron, lo mismo dentro que fuera de la Iglesia. Pero, al morir, todas las voces fueron una; desde todas partes, desde todas las clases surgió un llamado para que se reconociera la santidad de Pío X, el que fuera Giuseppe Sarto, hijo del cartero.

En 1923, los cardenales de la curia decretaron que se había abierto su causa, firmada por veintiocho prelados. En 1954, el Papa Pío XII canonizó solemnemente a su predecesor ante una enorme multitud que llenaba la Plaza de San Pedro, en Roma. Aquel fue el primer Papa al que se canonizaba desde Pío V, en 1672.

Cardinal Dario Castrillon Hoyos: Pope Benedict XVI would like every Catholic parish in the world to celebrate a regular Tridentine-rite Mass, a Vatican cardinal has said.

  http://uvcarmel.files.wordpress.com/2008/03/hoyos-9.jpg

Pope Benedict XVI would like every Catholic parish in the world to celebrate a regular Tridentine-rite Mass, a Vatican cardinal has said.



By Simon Caldwell

Catholic News Service



  Pope Benedict XVI would like every Catholic parish in the world to celebrate a regular Tridentine-rite Mass, a Vatican cardinal has said.



Cardinal Dario Castrillon Hoyos also told a June 14 press conference in London that the Vatican was writing to all seminaries to ask that candidates to the priesthood are trained to celebrate Mass according to the extraordinary form of the Latin rite, also known as the Tridentine Mass, restricted from the 1970s until July 2007 when Pope Benedict lifted some of those limits.



The cardinal, who was visiting London at the invitation of the Latin Mass Society, a British Catholic group committed to promoting Mass in the Tridentine rite of the 1962 Roman Missal, said it was "absolute ignorance" to think that the pope was trying to reverse the reforms of the Second Vatican Council by encouraging use of the rite.



"The Holy Father, who is a theologian and who was (involved) in the preparation for the council, is acting exactly in the way of the council, offering with freedom the different kinds of celebration," he said.



"The Holy Father is not returning to the past; he is taking a treasure from the past to offer it alongside the rich celebration of the new rite," the cardinal added.



When asked by a journalist if the pope wanted to see "many ordinary parishes" making provision for the Tridentine Mass, Cardinal Castrillon, a Colombian, said: "All the parishes. Not many, all the parishes, because this is a gift of God.



"He (Pope Benedict) offers these riches, and it is very important for new generations to know the past of the church," said Cardinal Castrillon, president of the Pontifical Commission "Ecclesia Dei," which works to help separated traditionalist Catholics return to the church.



"This kind of worship is so noble, so beautiful," he said. "The worship, the music, the architecture, the painting, makes a whole that is a treasure. The Holy Father is willing to offer to all the people this possibility, not only for the few groups who demand it but so that everybody knows this way of celebrating the Eucharist in the Catholic Church."



He also said his commission, which also is responsible for overseeing the application of "Summorum Pontificum," the 2007 papal decree authorizing the universal use of the Tridentine rite, was in the process of writing to seminaries not only to equip seminarians to celebrate Mass in Latin but to understand the theology, the philosophy and the language of such Masses.



The cardinal said parishes could use catechism classes to prepare Catholics to celebrate such Masses every Sunday so they could "appreciate the power of the silence, the power of the sacred way in front of God, the deep theology, to discover how and why the priest represents the person of Christ and to pray with the priest."



In "Summorum Pontificum," Pope Benedict indicated that Tridentine Masses should be made available in every parish where groups of the faithful desire it and where a priest has been trained to celebrate it. He also said the Mass from the Roman Missal in use since 1970 remains the ordinary form of the Mass, while the celebration of the Tridentine Mass is the extraordinary form.



The document did not require all parishes to automatically establish a Tridentine Mass schedule, but it said that where "a group of faithful attached to the previous liturgical tradition exists stably," the pastor should "willingly accede" to their request to make the Mass available.



Cardinal Castrillon told the press conference, however, that a stable group could mean just three or four people who were not necessarily drawn from the same parish.



Later in the day, Cardinal Castrillon celebrated the first pontifical high Mass in the Tridentine rite in London's Westminster Cathedral in 39 years. The event drew a congregation of more than 1,500 people, including young families. None of the English or Welsh bishops attended.

quinta-feira, 25 de agosto de 2011

LA REFORMA LITÚRGICA DEL VATICANO II : EN LOS ABUSOS LITÚRGICOS VIO PABLO VI EL HUMO DE SATANÁS EN LA IGLESIA



Es difícil olvidar el eco -inmenso, y no sólo irónico, sino a veces hasta rabioso- que suscitó Pablo VI con su alocución durante la audiencia general del 15 de noviembre de 1972. En ella volvía sobre lo que ya había expresado el 29 de junio precedente en la Basílica de San Pedro refiriéndose a la situación de la Iglesia: “¿Cómo se ha podido llegar a esta situación?” Ésta es la pregunta que se hacía el Papa Pablo VI, algunos años después de la clausura del Concilio Vaticano II, a la vista de los acontecimientos que sacudían a la Iglesia. “Se creía que, después del Concilio, el sol habría brillado sobre la historia de la Iglesia. Pero en lugar del sol, han aparecido las nubes, la tempestad, las tinieblas, la incertidumbre.”

Sí, ¿cómo se ha podido llegar a esta situación?
La respuesta de Pablo VI es clara y neta: “Una potencia hostil ha intervenido. Su nombre es el diablo, ese ser misterioso del que San Pedro habla en su primera Carta. ¿Cuántas veces, en el Evangelio, Cristo nos habla de este enemigo de los hombres?”. Y el Papa precisa: “Nosotros creemos que un ser preternatural ha venido al mundo precisamente para turbar la paz, para ahogar los frutos del Concilio ecuménico, y para impedir a la Iglesia cantar su alegría por haber retomado plenamente conciencia de ella misma, sembrando la duda, la incertidumbre, la problemática, la inquietud y la insatisfacción”.

Ya ante aquellas primeras alusiones se levantaron en el mundo murmullos de protesta. Pero ésta explotó de lleno —durante meses y en los medios de comunicación del mundo entero— en aquel 15 de noviembre de 1972 que se ha hecho famoso: “El mal que existe en el mundo es el resultado de la intervención en nosotros y en nuestra sociedad de un agente oscuro y enemigo, el Demonio. El mal no es ya sólo una deficiencia, sino un ser vivo, espiritual, pervertido y pervertidor. Terrible realidad. Misteriosa y pavorosa. Se sale del marco de la enseñanza bíblica y eclesiástica todo aquel que rehúsa reconocerla como existente; e igualmente se aparta quien la considera como un principio autónomo, algo que no tiene su origen en Dios como toda creatura; o bien quien la explica como una pseudorrealidad, como una personificación conceptual y fantástica de las causas desconocidas de nuestras desgracias”.
Tras añadir algunas citas bíblicas en apoyo de sus palabras, Pablo VI continuaba: “El Demonio es el enemigo número uno, es el tentador por excelencia. Sabemos que este ser oscuro y perturbador existe realmente y sigue actuando; es el que insidia sofísticamente el equilibrio moral del hombre, el pérfido encantador que sabe insinuarse en nosotros por medio de los sentidos, de la fantasía, de la concupiscencia, de la lógica utópica, o de las confusas acciones sociales, para introducir en nosotros la desviación…
El Papa lamentaba luego la insuficiente atención al problema por parte de la teología contemporánea: “El tema del Demonio y la influencia que puede ejercer sería un capítulo muy importante de reflexión para la doctrina católica, pero actualmente es poco estudiado”.

Sobre este tema, y obviamente en defensa de la doctrina repetidamente expuesta por el Papa, intervino también la Congregación para la Doctrina de la Fe con su documento de junio de 1975: “Las afirmaciones sobre el Diablo son asertos indiscutidos de la conciencia cristiana”; si bien, “la existencia de Satanás y de los demonios no ha sido nunca objeto de una declaración dogmática”, es precisamente porque parecía superflua, ya que tal creencia resultaba obvia “para la fe constante y universal de la Iglesia, basada sobre su principal fuente, la enseñanza de Cristo, y sobre la liturgia, expresión concreta de la fe vivida, que ha insistido siempre en la existencia de los demonios y en la amenaza que éstos constituyen”.
Un año antes de su muerte, Pablo VI volvió sobre este tema en otra audiencia general: “No hay que extrañarse de que nuestra sociedad vaya degradándose, ni de que la Escritura nos advierta con toda crudeza que “todo el mundo (en el sentido peyorativo del término) yace bajo el poder del Maligno”, de aquel al que la misma Escritura llama “el Príncipe de este mundo”.
El porqué incluimos estas dramáticas intervenciones de Pablo VI en el tema de la reforma litúrgica del Vaticano II y los abusos que posteriormente se dieron no es caprichoso ni inventado por nosotros, sino que la pista nos viene del cardenal Virgilio Noé, que trabajó por muchos años en la entonces Sagrada Congregación para los sacramentos y el Culto divino durante el pontificado del Pablo VI, llegando a ser secretario de dicho dicasterio, y después ya con Juan Pablo II fue arcipreste de la Basílica Vaticana hasta su jubilación. Pues bien, el anciano purpurado, ha hablado abiertamente, en una entrevista al portal Roma Petrus, sobre la famosa frase del Papa Montini acerca del humo de Satanás. En la entrevista también asegura que Pablo VI aceptó con sumo placer la reforma litúrgica que tuvo lugar tras el Vaticano II, pero vio con enorme preocupación la propagación de abusos litúrgicos que no respetaban dicha reforma.
El prelado ha comentado que el Papa Montini, por naturaleza era un hombre poco dado a la tristeza, acabó sus años muy triste por que la Curia le dejó solo a la hora de poner fin a dichos abusos. Noé asegura saber cuál era la intención de Pablo VI cuando afirmó que el “humo de satanás” había infiltrado la Iglesia Católica. El cardenal italiano asegura que el Papa se refería a “todos esos sacerdotes, obispos y cardenales que no adoraban correctamente a Dios al celebrar mal la Santa misa debido a una interpretación equivocada de lo que quiso implementar el Concilio Vaticano II. El Papa habló del humo de Satanás porque él sostenía que aquellos sacerdotes que convirtieron la Santa Misa en basura en nombre de la creatividad, en realidad estaban poseídos de la vanagloria y el orgullo del maligno. Por tanto, el humo de Satanás no era otra cosa que la mentalidad que quería distorsionar los cánones litúrgicos de la ceremonia eucarística”.
Añade además el Cardenal a este respecto: “Él condenaba la sed de protagonismo y el delirio de omnipotencia que siguieron a nivel litúrgico al Concilio. La Misa es una ceremonia sagrada, repetía con frecuencia, todo debe ser preparado y estudiado adecuadamente respetando los cánones, nadie es “dominus” de la Misa. Desgraciadamente, muchos, después del Vaticano II no lo han entendido y Pablo VI sufría viendo el fenómeno como un ataque del demonio.”

Sul concilio Vaticano II l'incontro degli ex allievi del Papa Benedetto XVI : L'ermeneutica del concilio Vaticano II è al centro quest'anno del tradizionale seminario estivo degli ex allievi di Benedetto XVI, riuniti nel cosiddetto Ratzinger Schülekreis. L'incontro si svolgerà da venerdì 27 a lunedì 30 agosto, nel centro congressi Mariapoli di Castel Gandolfo. I partecipanti saranno una quarantina, tutti ex allievi del professor Ratzinger, che hanno discusso le loro tesi con lui negli anni in cui era docente in Germania.

 


Da venerdì 27 a lunedì 30 a Castel Gandolfo

Sul concilio Vaticano II l'incontro
degli ex allievi del Papa Benedetto XVI 


Relatore principale è l'arcivescovo Kurt Koch, già vescovo di Basilea, nominato lo scorso 1° luglio presidente del Pontificio Consiglio per la Promozione dell'Unità dei Cristiani. Il presule terrà due interventi: il primo su "Il concilio Vaticano II tra tradizione e innovazione".
L'ermeneutica della riforma tra l'ermeneutica di una continuità con rottura e di una continuità non storica"; il secondo su "Sacrosanctum concilium e la riforma postconciliare della liturgia".

Il nome del relatore principale e il tema dell'incontro - come riferisce al nostro giornale il salvatoriano Stephan Horn, presidente dell'associazione degli ex allievi del Papa - sono stati indicati e approvati dallo stesso Benedetto XVI tra una rosa di scelte possibili propostagli dagli organizzatori. La maggioranza dei partecipanti proviene dalla Germania e dall'Austria. Oltre a questi, vi sono anche un italiano, un irlandese, un olandese, una coreana e un indiano.

Tra i presenti ci saranno il cardinale Christoph Schönborn, arcivescovo di Vienna, il vescovo ausiliare di Amburgo Hans-Jochen Jaschke, docenti, parroci, religiosi, religiose e laici. Come di consueto gli incontri - curati sotto l'aspetto organizzativo da padre Horn, che recentemente ha festeggiato i 50 anni di ordinazione sacerdotale - avranno luogo a porte chiuse.

Nei giorni di venerdì e sabato, dopo la relazione dell'arcivescovo Koch, si terrà una libera discussione sull'argomento, alla quale prenderà parte anche il Pontefice. Domenica mattina il momento culminante: gli ex allievi parteciperanno alla celebrazione eucaristica presieduta da Benedetto XVI al centro congressi Mariapoli.

Dopo la prima colazione con il Papa, i presenti - ai quali si uniranno le nuove generazioni di ex allievi, cioè coloro che hanno svolto la loro tesi di laurea su testi di Ratzinger - prenderanno parte anche all'Angelus nel cortile del Palazzo Pontificio di Castel Gandolfo. È divenuta ormai consuetudine che nell'ultimo giorno del seminario estivo si aggiungano al gruppo i nuovi ex allievi, costituiti in circolo tre anni fa.

Da segnalare che durante l'incontro di quest'anno padre Horn consegnerà al Pontefice, a nome di tutti gli ex allievi, il volume che raccoglie le relazioni del seminario estivo del 2008, che aveva per tema "Conversazioni su Gesù".

La pubblicazione è stata promossa dalla fondazione Joseph Ratzinger Papa Benedetto XVI, con sede a Monaco di Baviera, che ha per scopo la preparazione e l'organizzazione dell'incontro annuale, la promozione degli studi intrapresi da Ratzinger quando era docente, la diffusione del suo insegnamento teologico e della sua spiritualità, oltre che la pubblicazione dei libri di Benedetto XVI.

Il primo incontro di Ratzinger con i suoi ex allievi avvenne nel marzo 1977, quando fu nominato arcivescovo di Monaco e Frisinga. Da quel giorno l'appuntamento si ripete con cadenza annuale su un tema particolare. Come conferma padre Horn, "al Pontefice vengono proposti tre temi ed è lui stesso a compiere la scelta. Quello di quest'anno era il primo tema della lista che gli abbiamo sottoposto".

Il tema dello scorso anno è stato la missione ad gentes, mentre l'incontro di due anni fa era incentrato sulla questione della rispondenza del Gesù descritto dai Vangeli alla storicità della sua figura e sul racconto della Passione.

(©L'Osservatore Romano - 27 agosto 2010) 
 
VISTO EM :MISSAINLATINO.IT

Riuniti fino a domenica a Castel Gandolfo "La nuova evangelizzazione nell’incontro degli ex allievi del Papa"




Riuniti fino a domenica a Castel Gandolfo

La nuova evangelizzazione
nell’incontro degli ex allievi del Papa

Il tema della nuova evangelizzazione fa da sfondo al tradizionale seminario estivo degli ex allievi di Benedetto XVI — riuniti nel cosiddetto Ratzinger Schülerkreis — apertosi stamane, giovedì 25 agosto, a Castel Gandolfo.

All’incontro, che si tiene fino a domenica 28 nel centro congressi Mariapoli, partecipano una quarantina di persone provenienti da diversi Paesi. Tra loro il cardinale arcivescovo di Vienna, Christoph Schönborn, il vescovo ausiliare di Amburgo, Hans-Jochen Jaschke, il segretario del Pontificio Consiglio della Cultura, monsignor Barthélémy Adoukonou, docenti, parroci, religiosi, religiose e laici: tutti ex allievi del professor Joseph Ratzinger, che hanno discusso le loro tesi con lui negli anni in cui era docente in Germania.

Quest’anno sono due i relatori che interverranno durante i lavori della mattina e del pomeriggio di sabato 27: Hanna-Barbara Gerl-Falkovitz, docente di filosofia della religione all’università di Dresda, che approfondirà il tema In Athen von Jerusalem sprechen. Gott rede in einer widerständigen Welt («Parlare ad Atene di Gerusalemme. Parole di Dio in un mondo che resiste»), e Otto Neubauer, direttore dell’Accademia per l’Evangelizzazione della Comunità Emmanuel a Vienna, che parlerà su Eine immer neue Evangelisation – wo die Armut zur Brücke zu den Menschen wird («Una evangelizzazione sempre nuova – dove la povertà diventa un ponte verso gli uomini»). Alla sessione di sabato sarà presente Benedetto XVI, che terrà una breve relazione introduttiva.

Dalla giornata di venerdì 26 si uniranno ai partecipanti anche i membri del «nuovo» Schülerkreis, il circolo — costituitosi quattro anni fa — composto da studenti che hanno svolto la tesi di laurea su testi di Joseph Ratzinger, i quali parteciperanno anche alla messa e all’Angelus del Papa nella mattina di domenica 28. Nel pomeriggio, a conclusione dei lavori, avrà luogo una libera discussione fra «vecchi» e «nuovi» ex allievi sull’argomento oggetto del seminario di quest’anno.

Gli incontri, che come di consueto si svolgono a porte chiuse, sono curati sotto l’aspetto organizzativo dal religioso salvatoriano Stephan Horn, presidente della Joseph Ratzinger — Papst Benedict XVI. — Stiftung, la fondazione intitolata a Papa Ratzinger con sede a Monaco di Baviera. Approvata il 21 dicembre 2007 come fondazione civile, essa ha tra i suoi scopi la preparazione e l’organizzazione dell’incontro annuale, la promozione degli studi intrapresi da Ratzinger quando era docente, la diffusione del suo insegnamento teologico e della sua spiritualità, oltre che la pubblicazione dei libri di Benedetto XVI. Obiettivi che, nella sostanza, coincidono con quelli della omonima fondazione vaticana nata il 1° marzo 2010.

Il primo incontro di Ratzinger con i suoi dottorandi e i candidati alla libera docenza nel periodo in cui egli insegnava a Bonn, Münster, Tubinga e Ratisbona, ebbe luogo dopo la sua nomina ad arcivescovo di Monaco e Frisinga, avvenuta il 24 marzo 1977. Ben presto furono organizzate riunioni annuali alle quali il cardinale Ratzinger partecipò sempre. Questa tradizione è proseguita anche dopo la sua elezione al soglio pontificio. L’appuntamento si ripete ogni anno su un tema particolare, che lo stesso Pontefice sceglie da una terna di proposte. Particolarmente significativa la scelta di quest’anno, anche in vista dell’incontro del Papa con i rappresentanti delle realtà ecclesiali impegnate nell’ambito della nuova evangelizzazione in Occidente — che si svolgerà il 15 e il 16 ottobre prossimi in Vaticano — e soprattutto nella prospettiva della tredicesima assemblea generale ordinaria del Sinodo dei vescovi su «La nuova evangelizzazione per la trasmissione della fede cristiana», in programma dal 7 al 28 ottobre 2012.

Il tema dell’incontro dello scorso anno è stato l’ermeneutica del concilio Vaticano II, alla quale il cardinale Kurt Koch,(2ndr) presidente del Pontificio Consiglio per la Promozione dell’Unità dei Cristiani, ha dedicato due interventi: il primo su «Il concilio Vaticano II tra tradizione e innovazione. L’ermeneutica della riforma tra l’ermeneutica di una continuità con rottura e di una continuità non storica»; il secondo su «Sacrosanctum concilium e la riforma postconciliare della liturgia». Due anni fa si era parlato della missione ad gentes, mentre l’incontro di tre anni fa era stato incentrato sulla questione della rispondenza del Gesù descritto dai Vangeli alla storicità della sua figura e sul racconto della Passione.

© L'Osservatore Romano 26 agosto 2011
 
http://www-maranatha-it.blogspot.com/

Película – San José de Calasanz - Crónica de un Maestro


Pelicula San José de Calasanz San José de Calasanz, fundador de la Orden de las Escuelas Pías, primero en evangelizar en “la Piedad y Las Letras” a todos los niños pobres y ricos, nacido en Peralta de la Sal, fue el primer hombre en crear un sistema educativo gratuito del mundo a cualquier niño de cualquier clase social y de cualquier culto religioso, siguiendo a Dios al Escuchar la voz del Señor, que le dijo: "José, entrégate a los pobres. Enseña a estos niños y cuida de ellos". Murió en Roma, Italia, a los 91 años de edad. El Papa Pío XII le declaró en 1948 "celestial patrono de todas las escuelas populares cristianas".
 


Para ver toda la película Clica Aquí….

Película Católica - San José de Calasanz - Crónica de un Maestro
http://instrumentoscristianos.blogspot.com/
 

quarta-feira, 24 de agosto de 2011

# LA REFORMA LITÚRGICA DEL VATICANO II : EN LOS ABUS... # Il Card. Siri e l'ottavo vizio :E’ da un po’ di te... # VENERÁVEL PIO XII : E assim como as suas acerbas d... # A SANTA MISSA É O HOLOCAUSTO MAIS EXCELENTE. # Hoje é a Festa de Santo Agostinho. Catequese do Pa... # The mass is the most sacred ceremony of the cathol... # Capela Santa Maria das Vitórias: Missa Solene em A... # ATRACTIVO DE LA MISA TRIDENTINA por el Cardenal Al... # Veneravel Papa Pio XII :Sobre las falsas opinione...

08/21 - 08/28 (30)

LA REFORMA LITÚRGICA DEL VATICANO II : EN LOS ABUSOS LITÚRGICOS VIO PABLO VI EL HUMO DE SATANÁS EN LA IGLESIA


Es difícil olvidar el eco -inmenso, y no sólo irónico, sino a veces hasta rabioso- que suscitó Pablo VI con su alocución durante la audiencia general del 15 de noviembre de 1972. En ella volvía sobre lo que ya había expresado el 29 de junio precedente en la Basílica de San Pedro refiriéndose a la situación de la Iglesia: “¿Cómo se ha podido llegar a esta situación?” Ésta es la pregunta que se hacía el Papa Pablo VI, algunos años después de la clausura del Concilio Vaticano II, a la vista de los acontecimientos que sacudían a la Iglesia. “Se creía que, después del Concilio, el sol habría brillado sobre la historia de la Iglesia. Pero en lugar del sol, han aparecido las nubes, la tempestad, las tinieblas, la incertidumbre.”

Sí, ¿cómo se ha podido llegar a esta situación?
La respuesta de Pablo VI es clara y neta: “Una potencia hostil ha intervenido. Su nombre es el diablo, ese ser misterioso del que San Pedro habla en su primera Carta. ¿Cuántas veces, en el Evangelio, Cristo nos habla de este enemigo de los hombres?”. Y el Papa precisa: “Nosotros creemos que un ser preternatural ha venido al mundo precisamente para turbar la paz, para ahogar los frutos del Concilio ecuménico, y para impedir a la Iglesia cantar su alegría por haber retomado plenamente conciencia de ella misma, sembrando la duda, la incertidumbre, la problemática, la inquietud y la insatisfacción”.

Ya ante aquellas primeras alusiones se levantaron en el mundo murmullos de protesta. Pero ésta explotó de lleno —durante meses y en los medios de comunicación del mundo entero— en aquel 15 de noviembre de 1972 que se ha hecho famoso: “El mal que existe en el mundo es el resultado de la intervención en nosotros y en nuestra sociedad de un agente oscuro y enemigo, el Demonio. El mal no es ya sólo una deficiencia, sino un ser vivo, espiritual, pervertido y pervertidor. Terrible realidad. Misteriosa y pavorosa. Se sale del marco de la enseñanza bíblica y eclesiástica todo aquel que rehúsa reconocerla como existente; e igualmente se aparta quien la considera como un principio autónomo, algo que no tiene su origen en Dios como toda creatura; o bien quien la explica como una pseudorrealidad, como una personificación conceptual y fantástica de las causas desconocidas de nuestras desgracias”.
Tras añadir algunas citas bíblicas en apoyo de sus palabras, Pablo VI continuaba: “El Demonio es el enemigo número uno, es el tentador por excelencia. Sabemos que este ser oscuro y perturbador existe realmente y sigue actuando; es el que insidia sofísticamente el equilibrio moral del hombre, el pérfido encantador que sabe insinuarse en nosotros por medio de los sentidos, de la fantasía, de la concupiscencia, de la lógica utópica, o de las confusas acciones sociales, para introducir en nosotros la desviación…
El Papa lamentaba luego la insuficiente atención al problema por parte de la teología contemporánea: “El tema del Demonio y la influencia que puede ejercer sería un capítulo muy importante de reflexión para la doctrina católica, pero actualmente es poco estudiado”.

Sobre este tema, y obviamente en defensa de la doctrina repetidamente expuesta por el Papa, intervino también la Congregación para la Doctrina de la Fe con su documento de junio de 1975: “Las afirmaciones sobre el Diablo son asertos indiscutidos de la conciencia cristiana”; si bien, “la existencia de Satanás y de los demonios no ha sido nunca objeto de una declaración dogmática”, es precisamente porque parecía superflua, ya que tal creencia resultaba obvia “para la fe constante y universal de la Iglesia, basada sobre su principal fuente, la enseñanza de Cristo, y sobre la liturgia, expresión concreta de la fe vivida, que ha insistido siempre en la existencia de los demonios y en la amenaza que éstos constituyen”.
Un año antes de su muerte, Pablo VI volvió sobre este tema en otra audiencia general: “No hay que extrañarse de que nuestra sociedad vaya degradándose, ni de que la Escritura nos advierta con toda crudeza que “todo el mundo (en el sentido peyorativo del término) yace bajo el poder del Maligno”, de aquel al que la misma Escritura llama “el Príncipe de este mundo”.
El porqué incluimos estas dramáticas intervenciones de Pablo VI en el tema de la reforma litúrgica del Vaticano II y los abusos que posteriormente se dieron no es caprichoso ni inventado por nosotros, sino que la pista nos viene del cardenal Virgilio Noé, que trabajó por muchos años en la entonces Sagrada Congregación para los sacramentos y el Culto divino durante el pontificado del Pablo VI, llegando a ser secretario de dicho dicasterio, y después ya con Juan Pablo II fue arcipreste de la Basílica Vaticana hasta su jubilación. Pues bien, el anciano purpurado, ha hablado abiertamente, en una entrevista al portal Roma Petrus, sobre la famosa frase del Papa Montini acerca del humo de Satanás. En la entrevista también asegura que Pablo VI aceptó con sumo placer la reforma litúrgica que tuvo lugar tras el Vaticano II, pero vio con enorme preocupación la propagación de abusos litúrgicos que no respetaban dicha reforma.
El prelado ha comentado que el Papa Montini, por naturaleza era un hombre poco dado a la tristeza, acabó sus años muy triste por que la Curia le dejó solo a la hora de poner fin a dichos abusos. Noé asegura saber cuál era la intención de Pablo VI cuando afirmó que el “humo de satanás” había infiltrado la Iglesia Católica. El cardenal italiano asegura que el Papa se refería a “todos esos sacerdotes, obispos y cardenales que no adoraban correctamente a Dios al celebrar mal la Santa misa debido a una interpretación equivocada de lo que quiso implementar el Concilio Vaticano II. El Papa habló del humo de Satanás porque él sostenía que aquellos sacerdotes que convirtieron la Santa Misa en basura en nombre de la creatividad, en realidad estaban poseídos de la vanagloria y el orgullo del maligno. Por tanto, el humo de Satanás no era otra cosa que la mentalidad que quería distorsionar los cánones litúrgicos de la ceremonia eucarística”.
Añade además el Cardenal a este respecto: “Él condenaba la sed de protagonismo y el delirio de omnipotencia que siguieron a nivel litúrgico al Concilio. La Misa es una ceremonia sagrada, repetía con frecuencia, todo debe ser preparado y estudiado adecuadamente respetando los cánones, nadie es “dominus” de la Misa. Desgraciadamente, muchos, después del Vaticano II no lo han entendido y Pablo VI sufría viendo el fenómeno como un ataque del demonio.”